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Si vous ou vos amis avez peur de ce qui se passe dans le monde, vous pouvez faire quelque chose d’utile. Vous pouvez réellement vous défaire de la peur. L’auteure explique comment. Et elle explique pourquoi dire non à la peur est si puissant.

Lorsque les choses ne vont pas bien, les gens ont tendance à chercher – et à trouver – un fautif. Mais si nous reconnaissons que nous n’avons tous qu’un seul ennemi commun, le mal, nous pourrons travailler ensemble efficacement, au service de Dieu, pour accomplir le bien.

Lorsque l’auteure était enfant, le dimanche des Rameaux était toujours très important pour elle. Une fois adulte, c’est lors d’un dimanche des Rameaux qu’elle a décidé de devenir scientiste chrétienne.

L’auteure a été bottée par un cheval, ce qui a engendré des blessures internes et des fractures. Grâce à la prière, elle a été complètement rétablie, et elle a recommencé à chevaucher moins d’une semaine après.

Le péché peut sembler très attirant. Ne pas y céder est-il vraiment si bénéfique ?

Il semblait que tout le monde autour d’elle tombait malade. Par le passé, cela aurait signifié que l’auteure serait tombée malade également. Cette fois-ci, elle savait qu’elle pouvait faire mieux que d’accepter cette règle.

Actuellement, il semble que rien ne soit plus important que de comprendre la contagion – ce qui la sous-tend, comment l’arrêter et comment la guérir.

J’ai toujours été timide. Quand j’étais petite, ma sœur répondait souvent pour moi quand quelqu’un me demandait mon nom.

Tout ce que l’homme voit, ressent, ou tout ce dont il prend connaissance d’une manière quelconque, doit être saisi par l’entendement, puisque la perception, la sensation et la conscience appartiennent à l’entendement et non à la matière. Entraînés par le courant populaire de la pensée mortelle, sans mettre en question la véracité de ses conclusions, nous faisons ce que les autres font, croyons ce que les autres croient et disons ce que les autres disent.

« Je veux connaître les pensées de Dieu ; le reste n’est que détails.  » – Albert Einstein Einstein a toujours aimé les vues d’ensemble.