Témoignages
L'étude de la Science Chrétienne a apporté tant de bienfaits dans notre foyer qu'il me serait difficile de dire quels sont ceux pour lesquels j'ai le plus de reconnaissance. Cependant, j'éprouve une gratitude de plus en plus grande pour la connaissance de la toute-présence et de la toute-puissance de l'Amour, ainsi que de la certitude de l'unité de l'homme avec Dieu,— connaissance qui produit une confiance et un courage suffisants pour faire face à tout problème que présente le mal.
Pendant sept ans j'avais souffert d'une maladie des intestins, de constipation et d'autres complications, qui m'empêchaient de dormir, souvent plusieurs jours de suite, si bien que j'étais convaincu qu'il ne me restait plus longtemps à vivre. La pensée de mes souffrances, parfois intenses, rendit ma femme et nos enfants bien tristes et bien malheureux pendant ces années, et lorsque notre médecin avoua ne pouvoir me guérir définitivement, ce fut le désespoir à notre foyer.
J'ai souvent désiré donner le témoignage de ma guérison qui s'est effectuée par la Science Chrétienne, pensant qu'il pourrait servir à quelqu'un qui est dans les ténèbres, comme je l'étais en 1911. Je n'avais jamais joui d'une bonne santé, et pendant un an j'avais reçu les soins constants d'un docteur, lorsque finalement, je succombai à un abattement nerveux.
Les pharisiens demandèrent un jour à l'un des disciples de Jésus: “Pourquoi votre maître mange-t-il avec les péagers et les pécheurs?” Comme autrefois, Christ, la Vérité, invite continuellement tous ceux qui sont “fatigués et chargés” au “festin d'amour,” dont il est question dans un de nos cantiques. C'est en septembre 1916 que j'ai accepté une invitation à assister, dans une église de la Science Chrétienne, à une réunion du mercredi soir où se donnaient des témoignages de guérison.
C'est le cœur plein de reconnaissance que je désire raconter une guérison son dont je bénéficiai. On nous avait fait cadeau d'une plante qui, au dire de bien des personnes, est soi-disant vénéneuse.
Je fus amenée à la Science Chrétienne au printemps de l'année 1902 par une personne qui venait de s'y intéresser et faisait une visite dans le village où j'habitais à ce moment-là. Je suivais les traitements d'un docteur, mais n'en éprouvais guère de soulagement; alors on me dit que la Science Chrétienne pouvait me guérir.
La Vérité ne s'applique pas uniquement à la maladie, mais à tous les problèmes qui se présentent dans la vie journalière. Nous avions eu des ennuis dans un règlement de compte pour une note que nous avions payée et dont on nous contestait le règlement.
Dix ans se sont écoulés depuis que, pour la première fois, je demandai l'aide de la Science Chrétienne. Je souffrais alors de ce qui, selon le dire des médecins, était une tumeur maligne interne.
Je désire exprimer mes sentiments de profonde gratitude pour tout ce qu'a fait pour moi la Science Chrétienne, qui est entrée dans ma vie il y a cinq ans environ. A cette époque-là, mon mari était en France et notre unique enfant avait des attaques d'épilepsie.
Après avoir passé des années dans la souffrance et la maladie, poursuivi une religion qui n'offrait aucune satisfaction, et constaté que la médecine avait fait de vains efforts pour guérir mon mari, je sentis qu'il devait y avoir une meilleure voie; cependant, vu l'opposition et l'hostilité que je ressentais contre Mrs. Eddy,— sur le compte de laquelle je ne connaissais que les critiques que j'avais lues à son sujet,— j'entrepris et lus quelque chose que je croyais être tout aussi bon; c'était: “New-thought.