
Témoignages
J'étais un forgeron de soixante-sept ans, usé selon toutes apparences, lorsque je commençai à assister aux services de l'église locale de la Science Chrétienne, non avec l'espoir d'être guéri des maux que j'étais arrivé à considérer comme chroniques et incurables, mais parce que j'avais appris à aimer et à respecter bien des Scientistes que je rencontrais chaque jour. Par la bienveillance de l'un des membres, je reçus ce merveilleux livre: “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par notre Leader, Mary Baker Eddy, et je commençai immédiatement à l'étudier.
C'est avec un sentiment de profonde gratitude pour tous les bienfaits que j'ai reçus de la Science Chrétienne que je désire offrir mon témoignage. Pendant vingt-cinq ans, j'avais souffert de douleurs dans le dos.
Ayant eu la Science Chrétienne comme compagne morale durant mes années d'adolescence, et l'ayant mise en pratique pendant les cinq années que j'ai passées au collège, je suis heureux de pouvoir témoigner de ce que vaut, pour un jeune homme, cette religion du Principe divin, durant cette époque de son développement. Le fait qu'avant ma quatorzième année j'avais déjà reçu les enseignements de quatre églises ou sectes différentes, donnera quelque idée de la manière dont mes parents et moi cherchions à tâtons un fondement solide dans la compréhension de la Vie.
Moi aussi, je me sens poussée à rendre grâces à Dieu pour tous les bienfaits que j'ai reçus depuis que j'ai commencé l'étude de la Science Chrétienne. Pendant seize ans, j'avais souffert d'indigestion et de colique.
J'estime que c'est mon devoir et mon privilège de raconter ce que la Science Chrétienne a fait pour moi et pour ma famille. Depuis que nous avons commencé à étudier cette belle vérité, nous avons eu bien des guérisons.
Un sentiment de gratitude me pousse à parler, dans ce témoignage, des grands bienfaits que j'ai reçus de la Science Chrétienne. Après avoir souffert pendant neuf semaines d'une grave maladie des poumons, on me transporta, en avril 1920, dans un hôpital pour les incurables à Zurich.
Il y a environ deux ans, en revenant de l'école, j'éprouvai soudainement des maux de dents. Étant une élève de l'École du Dimanche de la Science Chrétienne, je m'efforçai, de mon mieux, de réaliser la vérité, mais la douleur augmenta de plus en plus.
Je connais la Science Chrétienne depuis deux ans seulement et j'en ai déjà reçu de nombreux bienfaits, petits et grands. Quand j'entendis parler de cette Science, pour la première fois, par une amie sincère et dévouée, je me trouvais dans un état de dépression morale et physique tout à fait intense.
A Pâques, en 1920, mon attention fut attirée maintes fois vers la Science Chrétienne. Ma femme était alors dans un état désespéré.
Je désire rendre grâces à Dieu, Lui rendre grâces du fond du cœur, pour tout le bien que j'ai reçu de la Science Chrétienne. En octobre 1918, je souffrais de la grippe, qui fut suivie d'un grand abattement nerveux.