
Témoignages
Il y a quelque temps je fus guidée vers la Science Chrétienne d'une façon merveilleuse. Je me croyais assujettie à la loi matérielle, aussi je ne connaissais que le souci et la maladie.
Notre Leader, Mrs. Eddy, dit à la page 494 de "Science et Santé avec la Clef des Écritures": "L'Amour divin a toujours répondu à tout besoin humain, et y répondra toujours.
Je considère que c'est un privilège d'exprimer ma profonde gratitude envers Dieu pour les nombreux et merveilleux bienfaits que j'ai reçus de la Science Chrétienne. La plus grande démonstration que j'ai eue de la puissance protectrice de Dieu me vint un jour que je me trouvais dans l'ascenseur d'un bâtiment et que celui-là tomba du neuvième étage jusqu'au sous-sol sans que j'en ressentisse aucun mal.
La Science Chrétienne m'a prouvé que "l'heure la plus sombre précède l'aube. " C'était juste au moment où j'étais arrivée à la conclusion que la vie était une comédie si désolante qu'elle ne valait pas la peine d'être vécue, qu'une de mes connaissances me parla de la Science Chrétienne; et dès le début, elle me parut surpasser en beauté tout ce que j'aurais pu imaginer.
Au mois de janvier je souffrais atrocement d'un abcès dans l'oreille. Je n'avais rien pu manger depuis quatre jours, et le médecin qu'on avait fait venir sans me consulter, déclara, après un examen de la bouche, de l'oreille et du nez, qu'il fallait qu'on me mette des compresses très chaudes pendant toute la nuit, et que le lendemain matin il fallait aller à l'hôpital pour faire percer l'abcès.
Lorsque je perdis mon mari, je perdis aussi mon foyer. A ce moment-là, ma petite fille, qui était âgée de trois ans et trois mois et qui avait été sérieusement atteinte de l'influenza accompagnée d'une pneumonie et de la coqueluche, ne s'était rétablie qu'en partie, tandis que moi-même je ne pouvais me remettre de la faiblesse causée par l'influenza et d'une inflammation du larynx.
En étudiant le livre: "Science et Santé avec la Clef des Écritures," par Mary Baker Eddy, je me suis détourné des vains appuis matériels sur lesquels je m'étais reposé et j'ai trouvé que Dieu est mon unique soutien. Lorsque je commençai à lire ce précieux livre, je souffrais nuit et jour de la sciatique; et étant dans l'armée, il me fallait dormir par terre lorsque nous habitions des tentes.
Au commencement de 1918, je tombai subitement malade d'une grave dysenterie accompagnée d'une forte fièvre gastrique. Je dus m'aliter; et ma mère, qui étudiait la Science Chrétienne, me lut le chapitre sur la Prière, qui se trouve dans le livre de texte de la Science Chrétienne: “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy.
Au mois de mars, 1917, alors que je me servais d'un arpon, un éclat de bois dur atteignit mon œil droit, et fendit la prunelle à travers la pupille. On me transporta en toute hâte à l'hôpital, où l'on me fit plusieurs points pour fermer la blessure.
C'est avec une profonde reconnaissance que je désire témoigner des bienfaits obtenus par la Science Chrétienne. Pendant plusieurs années, j'avais souffert d'une maladie de l'abdomen, qui augmentait de jour en jour.