
Témoignages
Avant que je connusse la Science Chrétienne j'avais été victime d'un accident de chemin de fer. La collision eut lieu environ à trente-cinq milles d'une grande ville où le train me transporta ensuite; là on me mit dans un hôpital où je souffris “entre les mains de plusieurs médecins.
Je désire exprimer ma gratitude pour ce que la Science Chrétienne a fait pour nous. En 1922, notre fillette, âgée de neuf ans, eut une pleurésie.
Il y a huit ans, mes premières guérisons se sont effectuées par la lecture de “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy, conjointement avec celle de la Bible et des “Leçons-Sermons” contenues dans le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne. J'ai été amenée à cette étude par une chère amie qui, ayant vu le besoin de son prochain, y pourvut en me prêtant ses propres livres et en me menant plus tard dans une Salle de Lecture de la Science Chrétienne où je pus en emprunter ou en acheter.
Je désire exprimer ma reconnaissance à la Science Chrétienne pour la merveilleuse guérison que j'ai eue pendant l'hiver de 1914. Au retour d'une visite, je rapportai une grande machine à égrener le maïs, afin de m'éviter la peine d'aller la chercher le lendemain.
Je considère qu'il est de mon devoir de rendre témoignage, avec un cœur plein de reconnaissance, du pouvoir de la Vérité et de l'amour toujours présent de Dieu. J'avais souffert pendant des années d'un mal d'estomac et de reins.
Il y a treize ans que j'ai commencé à m'intéresser à la Science Chrétienne. Depuis lors elle a été l'appui et le soutien de ma vie, et je suis heureuse et reconnaissante de pouvoir aider autrui.
J'étais à peine sortie de l'enfance lorsque j'entendis parler de la Science Chrétienne. Ayant des tendances au scepticisme et à la méditation, je considérai qu'il était nécessaire, à ce temps-là, d'en rechercher les enseignements et de les comparer aux religions et aux philosophies des anciens peuples civilisés.
Au mois de décembre 1913, l'un de nos enfants tomba malade. Nous fîmes venir un médecin qui diagnostiqua un érysipèle.
Au printemps de 1910, je vins dans l'Idaho cherchant la guérison de ce qu'un spécialiste appelait: affection tuberculeuse des bronches. Les docteurs me prévinrent que seul un changement de climat pouvait me remettre; mais je n'en retirai aucun soulagement.
C'est avec joie que je rends témoignage des nombreux bienfaits que j'ai reçus par la Science Chrétienne. J'ai été guérie d'une respiration difficile dont j'avais été affligée pendant trente ans.