
Témoignages
J'ai de bonnes raisons pour être reconnaissant des activités des travailleurs pour les Secours de Guerre de la Science Chrétienne, à Ripon, Angleterre; car, grâce à leur œuvre de bienveillance, j'ai été amené à la recherche du royaume de Dieu au dedans de l'homme. Avant d'entendre parler de la Science Chrétienne, j'étais un fumeur invétéré.
Ce n'est que depuis trois ans que j'ai le bonheur de connaître la Science Chrétienne, et j'ai déjà eu maintes preuves de ses bienfaits physiques et moraux. J'ai eu tout récemment une belle démonstration que je désire raconter.
Je suis très reconnaissante à la Science Chrétienne et désire rendre témoignage de son pouvoir guérisseur. Il y a trois ans et demi environ, alors que j'habitais à Portland, Orégon, mon petit garçon âgé de huit ans fut renversé par une automobile dans laquelle se trouvaient deux hommes.
Moi aussi, je désire exprimer ma gratitude pour les bienfaits que j'ai reçus de la Science Chrétienne. Dès mon plus bas âge, je souffris de l'asthme, qui empira d'année en année.
Il y a cinq ans environ, mon petit garçon, âgé de trois ans, jouait à l'étage supérieur, lorsqu'il tomba du haut de l'escalier et se cogna le front contre l'angle d'une caisse en bois contenant des rallonges de table. Il ne se coupa pas le front, mais il eut une marque profonde.
Jusqu'au jour où je commençai l'étude de la Science Chrétienne, il y a de cela environ quinze ans, j'avais toujours été sujette au découragement et au mécontentement, me demandant à quoi servait la vie et comment la rendre utile; je m'attendais toujours au mal, aussi rencontrais-je rarement le bien. Ce fut une révélation bénie d'apprendre, en étudiant la Science Chrétienne, que rien n'est trop bon pour être vrai; que l'amour de Dieu nous accueille et nous environne toujours; que Dieu est la seule cause; qu'il ne peut y avoir d'effet d'aucune autre cause; et qu'il nous appartient de profiter de chaque minute de notre vie en mettant en pratique ce que la Science Chrétienne nous enseigne.
C'est avec le plus grand plaisir que je tâche d'exprimer par des paroles la gratitude que je ressens pour la Science Chrétienne. Revenant de l'Afrique Orientale Allemande, en 1918, ma santé ruinée par suite de la fièvre paludéenne et de la dysenterie, j'entendis parler de la Science Chrétienne à la Salle de Lecture des Soldats, de la Science Chrétienne, à Bedford, où j'étais en garnison.
J'ai souffert pendant des années d'une terrible maladie nerveuse qui se manifestait par l'insomnie, la mélancolie et une grande agitation de l'esprit et du corps. J'avais reçu les soins de plusieurs spécialistes.
C'est avec la gratitude la plus profonde envers Dieu et envers Mary Baker Eddy pour l'aide apportée par la Science Chrétienne que je donne ce témoignage, désirant prouver que Dieu est un secours toujours présent dans la détresse. Il y a cinq ans environ notre petit-fils, alors âgé de deux ans, fut atteint d'une maladie que les médecins prétendaient incurable — la paralysie infantile.
C'est avec un profond sentiment de gratitude envers Dieu que j'apporte le témoignage suivant. Notre bébé, âgé de deux ans et demi, se pencha en dehors de la fenêtre et tomba dans le vide, de la hauteur du troisième étage.