Témoignages
Lorsque j’entendis parler de la Science Chrétienne pour la première fois, j’étais très malade et très malheureuse. J’avais souffert d’une maladie interne pendant des années.
C’est le cœur débordant de gratitude que je rends grâces à Dieu pour les nombreux bienfaits que ma famille et moi, nous avons reçus de la Science Chrétienne, moralement aussi bien que physiquement. Il y a quatre ans, mon petit garçon ayant une difformité aux jambes, je consultai deux spécialistes.
En 1918, une de mes petites filles était fortement atteinte de l’influenza. Le médecin que nous avions consulté, ayant diagnostiqué le cas, dit qu’elle avait une double pneumonie avec pleurésie et inflammation à l’intérieur des oreilles.
Voilà bien des années que je désire écrire mon témoignage pour nos périodiques; mais bien qu’il s’agisse de raconter les expériences joyeuses du rétablissement de ma santé, que la connaissance de la Science Chrétienne a fait entrer dans ma vie, j’ai éprouvé quelque répugnance à ouvrir les sombres pages du passé, avec leurs fausses images, dont la Vérité m’a délivrée. Je ne fus jamais forte en réalité; et autant que je puis me souvenir, on a toujours eu à mon sujet la grande crainte qu’à mesure que j’avancerais en âge, la phtisie se développerait en moi, ma mère ayant succombé à cette maladie à l’âge de vingt-cinq ans; mon seul frère aussi, qui m’avait accompagnée en Australie à la recherche de la santé dans un meilleur climat, avait quitté ce monde au même âge.
Je désire exprimer ma gratitude pour une belle preuve de guérison par la Science Chrétienne. Il y a environ deux ans, je tombai très malade.
Voici déjà quelque temps que je me sens poussée à exprimer ma gratitude par l’intermédiaire du Journal ou du Sentinel pour tous les bienfaits que j’ai reçus depuis que j’ai commencé à étudier la Science Chrétienne, et j’espère aider ainsi à quelqu’un qui se sentira peut-être aussi découragé que je l’étais, lorsque je m’adressai à la Science pour être soulagée d’un mal physique qui avait été prononcé incurable par les médecins, et qu’ils croyaient être une excroissance maligne dans la gorge. En 1916, je subis une opération, jugeant que tout était préférable aux souffrances que j’endurais.
Je désire exprimer ma gratitude pour une prompte guérison que j’ai reçue grâce à la Science Chrétienne. J’étais dans un hôpital pendant dix semaines, souffrant de l’inflammation des reins, dont aucun docteur ne pouvait me soulager.
Il y a huit ans, en rentrant de son travail, mon mari tomba subitement dans le coma, qui dura un jour et deux nuits. Je fis immédiatement chercher un médecin pour me rassurer concernant sa maladie.
Depuis mon enfance, j’avais souffert d’une faiblesse de l’estomac qui, à mesure que je grandissais et devais remplir les devoirs de cette vie, empirait constamment. J’étais souvent obligé de m’absenter de mon travail à cause de crampes d’estomac, de maux de tête et de crises d’étourdissement; et lorsque les crises étaient passées, je ne me sentais pas encore bien, et le travail me devenait un vrai fardeau.
Je fus promptement guéri d’une grave maladie des yeux par les traitements d’une praticienne de la Science Chrétienne, après avoir beaucoup souffert et avoir été privé en partie de l’usage des yeux pendant plusieurs années, durant lesquelles j’essayai tous les spécialistes à ma portée et toutes les méthodes de traitement connues, et cela, sans amélioration permanente, si ce n’est un léger soulagement temporaire. Plusieurs médecins oculistes en consultation décidèrent qu’ils ne pouvaient guère me donner l’espoir d’alléger mes souffrances ni d’obtenir une amélioration complète des difficultés de la vue.