
Témoignages
Je suis venue à la Science Chrétienne non pour la guérison physique — bien que j'en eusse grand besoin — mais à cause de la merveilleuse lumière que cette Science projette sur la Bible. Cependant j'ai eu des guérisons et des bénédictions nombreuses, et j'écris ce témoignage pour aider mon prochain.
Il y a quatre ans que j'entendis parler de la Science Chrétienne. Dès ma première conversation avec une Scientiste, je sentis que cette Science était bien différente de tout ce que j'avais connu et que l'on pouvait compter sur elle.
Dans ma grande reconnaissance, je désire faire connaître les bénédictions reçues par la Science Chrétienne. Dès mon enfance, j'avais eu des maux d'estomac; les attaques devenaient toujours plus graves et je souffrais beaucoup.
Au printemps 1932, il me semblait que le suicide seul pouvait me soulager de ma souffrance morale. J'étais dégoûtée de la vie à tel point que je craignais de me tuer stupidement et de causer ainsi trop de mal à mes proches amis qui n'étaient pas très heureux non plus.
Espérant aider mon prochain, je désire exposer quelques-unes des bénédictions que je dois à la Science Chrétienne. Dans mon enfance, je fus ramené de la Californie comme coxalgique.
C'est une sincère reconnaissance au sujet de diverses guérisons par la Science Chrétienne qui m'engage à donner le présent témoignage. Il y a quelques années, alors que nous nous intéressions depuis peu à cette Science, notre fille âgée de cinq ans eut une inflammation de l'oreille moyenne.
La Science Chrétienne est non pas une nouvelle religion, mais le pur christianisme qu'enseignait le Christ Jésus, le résultat de la révélation spirituelle. Si je pense à toutes les bénédictions que ma famille et moi-même avons reçues par la Science Chrétienne, je sens qu'une vie consacrée à la vérité et au service de mon prochain peut seule payer ma dette de reconnaissance envers Dieu, envers Mary Baker Eddy et les praticiens dévoués.
C'est le cœur plein de reconnaissance que je donne le témoignage suivant. Mon enfant avait toujours été faible et maladif; il souffrait tantôt d'une maladie tantôt d'une autre.
Il y a vingt-trois ans, après de grandes souffrances mentales et physiques, je fus atteinte d'une mauvaise fièvre. Malgré tous les remèdes matériels et les soins attentifs de deux docteurs, je n'allais pas mieux, et j'avais perdu le Dieu en qui j'avais toujours cru.
L'environnement ne gouverne pas l'homme, l'ambiance matérielle est sans pouvoir contre son bien-être, pourvu qu'il accepte avec reconnaissance son divin héritage de liberté mentale et qu'il y adhère sincèrement — voilà ce dont j'ai eu des preuves concluantes. Je suis dans la même branche qu'il y a dix ans, je travaille dans la même ambiance et généralement avec les mêmes personnes.