Témoignages
« Ils ont crié vers l'Éternel dans leur détresse, et il les a délivrés de leurs angoisses.
Pendant deux ans, j'avais fidèlement suivi le régime et pris les remèdes que m'avaient ordonnés des médecins estimés et consciencieux; mais au lieu de s'améliorer, mon état empirait. On finit par déclarer que je pouvais encore vivre quelques mois, peut-être seulement quelques semaines.
Au cours de l'hiver 1931, j'eus ma première guérison par la Science Chrétienne. J'avais une inflammation de l'oreille moyenne et pendant neuf semaines je me rendis deux fois par semaine chez le docteur.
Je fréquente l'École du dimanche Scientiste Chrétienne, et je désire exprimer ma profonde reconnaissance pour les nombreuses guérisons et tous les bienfaits que j'ai reçus. Il y a quelque temps, à la leçon de gymnastique, je me fis mal au pied.
Voici plusieurs années qu'un ami nous parla de la Science Chrétienne et ma mère l'accepta comme étant la vérité. A cette époque j'étais adolescent; ma santé était bonne et je me contentais de consulter un médecin quand cela paraissait nécessaire.
Je suis venue à la Science Chrétienne en cherchant de l'aide pour quelqu'un d'autre. A ce moment-là je ne pensais pas avoir besoin du secours de Dieu; mais quelques années plus tard, ce que j'avais cherché pour autrui me servit à moi-même.
Il y a vingt-cinq ans, je vis pour la première fois une preuve remarquable de la puissance curative de la Science Chrétienne. Une proche parente, dame d'un certain âge qui demeurait alors chez nous, avait depuis des années de l'asthme et une maladie de cœur.
Une gratitude indescriptible remplit mon cœur quand je pense à ma première guérison par la Science Chrétienne. Il y a bien des années, avant de connaître la Science Chrétienne, j'eus une grave maladie de cœur.
C'est avec reconnaissance que j'envoie ce témoignage à propos des guérisons que j'ai eu le privilège d'avoir par la Science Chrétienne. Durant l'automne de 1934, je rentrai un soir assez tard et comme il faisait très chaud j'allai à la cuisine dans l'obscurité pour boire un verre de limonade.
Dès mon enfance je désirais avec ardeur la vérité; n'étant pas satisfaite de ce que me disaient les médecins et les pasteurs, je soutenais qu'il devait assurément exister un moyen de résoudre le problème de la souffrance et d'en sortir. Ma sœur et moi nous avions été élevées par des domestiques qui semblaient cruels, et nous étions sans parent aucun vers lequel nous tourner pour recevoir de la sympathie.