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Pendant plus de vingt ans, la Science Chrétienne a été le médecin, le...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1940


Pendant plus de vingt ans, la Science Chrétienne a été le médecin, le guide, le Consolateur vers lequel je me suis tournée dans les moments difficiles et jamais en vain.

Je n'étudiai pas la Science Chrétienne pour trouver une guérison physique, mais parce que je recherchais la vérité — la vérité qui selon Jésus doit nous affranchir. Cependant, quand la Science Chrétienne vint à moi j'étais nerveuse, mécontente, malheureuse, cherchant ce que j'appelais une « base d'action » et quelque chose qui remplirait le vide de mon existence. Naturellement c'était Dieu que je cherchais, quoique je n'en fusse pas consciente.

Lorsque je trouvai la Science Chrétienne, je sentis que mes tâtonnements avaient pris fin, car la Science de l'être enseignée par notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, dans son livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, m'a apporté la santé, l'harmonie, le bonheur et la paix. Elle m'a donné une solution pour chaque problème, une guérison pour toute prétention de maladie, une règle de vie infaillible et surtout elle m'a donné un Père-Mère Dieu, tendre et plein d'amour — un Dieu proche, dont les bras éternels nous entourent, prêt à nous guider et à nous sauver si nous avons recours à Lui.

J'ai été guérie d'une sinusite très douloureuse, de nervosité, d'une bronchite, de lésions résultant d'un accident d'automobile qui selon l'entendement mortel aurait pu être très grave et d'autres maux trop nombreux pour être énumérés. Quelques-unes de ces guérisons vinrent rapidement, d'autres plus lentement; mais celles-ci m'ont donné l'occasion de croître en grâce et d'augmenter ma compréhension de Dieu et de mon inaltérable unité avec Lui. Je fus particulièrement mise à l'épreuve pendant une guérison de la petite vérole. Alors que j'étais isolée, essayant d'exclure les vilains indices que présentaient les sens, la crainte d'être défigurée à la suite de cette terrifiante maladie menaça de m'envahir. Cependant, avec l'aide d'une praticienne de la Science Chrétienne, le mal disparut sans laisser de traces.

Grâce à la Science Chrétienne, les problèmes du manque et des relations humaines ont aussi trouvé leur solution. Le chemin a paru sombre et difficile par moments et le brouillard de l'esprit mortel presque impénétrable, mais lorsque je me suis détournée des prétentions mensongères de l'erreur pour me réjouir de connaître les choses telles qu'elles sont et non pas telles qu'elles semblent être, la lumière de l'Amour toujours présent n'a jamais manqué d'éclairer ma route.

Une fois que j'étais dans une situation malheureuse et discordante, je passai plusieurs heures à marcher de long en large, déclarant la vérité, puis l'instant d'après m'écriant: « O Seigneur, combien de temps encore? » — comme si j'attendais que Dieu vienne me sortir d'un piège où je serais tombée. Soudain je m'éveillai à ce fait: aussi longtemps que j'acceptais la croyance que j'étais dans une situation dont il fallait qu'on me sorte, j'y resterais, car mon état n'était que l'objectification de ma pensée. Quand je me rendis compte que je n'avais jamais été autre part que dans le royaume de l'harmonie, en présence de Dieu où « l'âme est rassasiée de joie, » que je n'avais à sortir de rien, en d'autres termes que j'étais déjà dehors; quand je m'attachai à ce fait — la guérison vint. J'ai appris que l'erreur peut tout au plus prétendre suggérer une chose, et que l'influence de cette suggestion dépend entièrement de ce que je l'accepte ou la rejette; j'ai pu dès lors jusqu'à un certain point garder « la porte de la pensée » (Science et Santé, p. 392).

J'apprends aussi à aimer mon prochain. Et comment puis-je l'aimer si je ne vois pas l'homme absolument aimable et plein d'amour?

Mon cœur déborde de gratitude pour les bénédictions sans nombre que l'étude de la Science Chrétienne m'a apportées et pour le fait que son influence agit aujourd'hui comme un levain dans la conscience du monde entier. Je suis aussi reconnaissante au-delà de toute expression d'apprendre à voir que tout est bien; que l'homme réel n'a pas besoin d'être changé ou guéri, car il est maintenant — comme il l'a toujours été — spirituel et parfait, « non déchu, mais droit, pur et libre » (ibid., p. 171); et la réalisation de ce fait constitue la démonstration.

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