
Témoignages
Une gratitude indescriptible remplit mon cœur quand je pense à ma première guérison par la Science Chrétienne. Il y a bien des années, avant de connaître la Science Chrétienne, j'eus une grave maladie de cœur.
C'est avec reconnaissance que j'envoie ce témoignage à propos des guérisons que j'ai eu le privilège d'avoir par la Science Chrétienne. Durant l'automne de 1934, je rentrai un soir assez tard et comme il faisait très chaud j'allai à la cuisine dans l'obscurité pour boire un verre de limonade.
Dès mon enfance je désirais avec ardeur la vérité; n'étant pas satisfaite de ce que me disaient les médecins et les pasteurs, je soutenais qu'il devait assurément exister un moyen de résoudre le problème de la souffrance et d'en sortir. Ma sœur et moi nous avions été élevées par des domestiques qui semblaient cruels, et nous étions sans parent aucun vers lequel nous tourner pour recevoir de la sympathie.
Plein de reconnaissance et de joie, je désire raconter la merveilleuse bénédiction et la guérison que je dois à la Science Chrétienne. Quand j'entendis parler de cette Science, trois médecins m'avaeint condamné parce que j'étais poitrinaire.
Si j'offre ce témoignage, c'est parce que j'apprécie profondément le réconfort et la joie que ma famille et moi-même devons à l'étude de la Science Chrétienne. Il montrera combien ces enseignements sont efficaces dans les problèmes ayant trait aux affaires.
Il m'est impossible d'exprimer suffisamment ma reconnaissance pour la guérison reçue en Science Chrétienne, guérison qui semble encore miraculeuse à la plupart de mes amis et à moi-même. Il y a plus de deux ans, une violente crise cardiaque me fit presque mourir.
Nous lisons dans Matthieu: « Cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » Depuis que j'ai commencé à chercher le royaume de Dieu, bien des choses en effet m'ont été données par surcroît.
Il y a environ trois ans que je tombai malade: j'avais des calculs rénaux et biliaires. En outre, je souffrais de la jaunisse et d'une mauvaise phlébite.
La parabole du semeur et de la semence s'est vérifiée d'une façon très claire quand je suis entrée en Science, car la Science Chrétienne m'avait été offerte trois fois avant que je fusse prête à l'accepter; c'est donc seulement alors que la terre se trouva assez préparée pour qu'y germe la semence de la Vérité. Il y a presque vingt et un ans que je suis en Science, et je tiens à exprimer ma gratitude pour tout le bien qui s'est dès lors manifesté dans ma vie.
C'est par gratitude que je désire mentionner quelques-uns des bienfaits reçus en Science Chrétienne. Il y a plus de dix-sept ans, je souffrais d'ulcères à la gorge et je gardais le lit; comme j'avais employé sans succès des remèdes matériels, ma mère, qui étudiait la Science Chrétienne, me conseilla d'y avoir recours.