Témoignages

Plus de douze ans ont passé depuis que j'entendis parler de la Science Chrétienne pour la première fois. Nombreux sont les bienfaits que j'ai reçus pendant ces années.

C'est le cœur plein de joie et de gratitude que je voudrais parler des nombreuses bénédictions reçues grâce à la Science Chrétienne. Je vins à la Science après avoir souffert pendant cinq ans.

Il y a environ vingt-cinq ans, ma mère attira mon attention sur la Science Chrétienne; à cette époque j'étais à l'université, étudiant les sciences et me préparant à devenir ingénieur. Comme cette religion contredisait presque toutes les théories sur lesquelles se fondait la physique d'alors, je ne lui fis pas bon accueil.

Pendant plus de vingt ans, la Science Chrétienne a été le médecin, le guide, le Consolateur vers lequel je me suis tournée dans les moments difficiles et jamais en vain. Je n'étudiai pas la Science Chrétienne pour trouver une guérison physique, mais parce que je recherchais la vérité — la vérité qui selon Jésus doit nous affranchir.

Par six fois, j'eus aux jambes ce que les médecins nomment érésipèle. A chaque reprise, j'en souffris pendant trois semaines.

Quelle joie de pouvoir exprimer sa reconnaissance dans les périodiques de notre mouvement et d'aider ainsi ceux qui semblent aux prises avec les difficultés! Dans Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 57), Mrs.

C'est de tout cœur que je veux exprimer ma reconnaissance pour les bienfaits reçus depuis que je me suis tournée sincèrement et sans réserve vers la Science Chrétienne. La certitude de l'omnipotence et de l'omniprésence de Dieu — de l'Amour divin occupant tout l'espace — ainsi que les efforts pour obéir au Principe divin tel qu'il est exposé en Science Chrétienne, ont merveilleusement enrichi ma vie.

C'est avec une grande joie que je peux exprimer publiquement ma profonde reconnaissance à la Science Chrétienne. Depuis ma plus tendre enfance j'ai eu à souffrir de maux de tête persistants.

C'est avec gratitude que je donne mon témoignage. Il y a dix-neuf ans, l'on me parla pour la première fois de la Science Chrétienne comme d'une religion possédant une doctrine exacte de la guérison.

Quand notre fils cadet, qui est aujourd'hui un robuste garçon de onze ans, était tout petit et commençait à se traîner, nous remarquâmes que c'était toujours sur un côté seulement; quand on le soulevait pour le remettre ensuite à terre, avant de repartir il se tournait toujours du même côté. Au bout d'un certain temps, nous nous rendîmes compte qu'il avait une paralysie infantile.