Témoignages
Je suis moi aussi parmi ceux qui tiennent à exprimer leur profonde reconnaissance pour les grandes bénédictions reçues grâce aux admirables enseignements de la Science Chrétienne. Avant de connaître cette Science, je souffrais beaucoup, physiquement et mentalement; de plus, mes nombreuses maladies nous occasionnaient de grandes difficultés pécuniaires.
Depuis mon enfance je connaissais la Science Chrétienne et j'étais convaincu de sa justesse fondamentale; mais je ne m'y intéressai sérieusement que lorsque, voici vingt ans, ma femme fut instantanément guérie d'une maladie aiguë affectant les intestins. Pendant les dix-huit mois qui suivirent cette guérison, toutes sortes de circonstances me donnèrent abondamment l'occasion d'appliquer ce que j'apprenais de la vérité, et l'indiscutable efficacité de la Science Chrétienne me fut amplement prouvée.
Le cœur plein de reconnaissance, je me joins au Psalmiste qui s'écriait: « Si ta loi n'eût fait mes délices, j'aurais déjà péri dans ma misère. » J'eus le bonheur de trouver la Science Chrétienne d'une manière tout à fait remarquable.
C'est avec une profonde gratitude envers la Science Chrétienne que je témoigne de mes guérisons et des difficultés que j'ai pu surmonter grâce à cette Science. Avec l'aide d'une praticienne dévouée, j'ai été guérie d'une hernie qui nécessitait une opération chirurgicale urgente.
Depuis onze ans je jouis des bienfaits que m'a apportés l'étude de la Science Chrétienne. Je garde un souvenir très net du premier culte auquel j'assistai dans une église de la Science Chrétienne.
Je ne suis pas venue à la Science Chrétienne pour la guérison physique, bien que j'en eusse grand besoin, car j'étais, selon le docteur, poitrinaire au dernier degré. Je souffrais beaucoup également des effets d'un goitre, et je ne savais pas ce que c'était que de vivre sans de sourds maux de tête.
Alors que j'étais enfant, la guérison de mon père, que l'on disait mourant d'une maladie incurable, fit s'ouvrir devant moi les portes de la Vérité. Cette guérison fut suivie de celle de mon petit frère, dont la faible santé s'améliora lorsqu'il fut guéri d'une pneumonie.
Profondément reconnaissante à Dieu, je désire donner un témoignage au sujet de la belle guérison de notre fillette âgée de trois ans. En février 1938, elle tomba malade et eut une forte fièvre.
Je veux en toute humilité exprimer ma reconnaissance à Dieu pour les nombreuses bénédictions que la Science Chrétienne m'a apportées. J'ai été guéri de l'habitude de fumer, de boire et de jurer, ainsi que de divers maux auxquels la chair est censée être sujette.
« La détresse de l'homme est l'opportunité de Dieu »: voilà qui me fut prouvé en 1933, alors que je ne semblais plus avoir d'autre ressource que celle d'aller finir mes jours dans un asile de vieillards, cependant que l'Assistance publique différait encore mon admission. C'est alors que je rencontrai dans la rue une dame que je ne revis plus jamais.