Témoignages
C'est avec une profonde gratitude que je témoigne de ma guérison par la Science Chrétienne. Pendant plus de dix ans je souffris d'une maladie des tropiques censément incurable.
Je remercie Dieu de l'admirable guérison de notre fille aînée par la Science Chrétienne. En avril 1936, cette enfant eut la scarlatine.
C'est avec joie et gratitude que j'atteste la libération physique et l'illumination spirituelle obtenues il y a plusieurs années par l'application de la Science Chrétienne, quand j'étais en face d'un problème qui m'opprimait. J'avais les muscles des jambes fort contractés et ceux de mon dos avaient perdu leur élasticité.
C'est par reconnaissance pour les nombreux bienfaits reçus en Science Chrétienne que j'envoie ce témoignage, dans l'espoir que d'autres trouveront eux aussi la joie, la paix et l'amour. Quand j'entendis parler de la Science Chrétienne, j'étais dans une grande détresse.
Je désire exprimer ma gratitude pour la première guérison que m'apporta la Science Chrétienne. Depuis mon enfance je souffrais d'une pénible éruption cutanée accompagnée de fortes démangeaisons.
C'est en 1898 que la Science Chrétienne attira pour la première fois mon attention; à cette époque, je tâchais d'aider un ami qui pour cause de maladie, avait dû quitter son travail. Un jour que j'étais allé lui rendre visite, on me dit que, selon les docteurs, il n'en avait plus que pour quelques jours.
Dans notre famille, cinq générations ont eu des guérisons et d'autres bienfaits par la mise en pratique des règles de la Science Chrétienne. Depuis nombre d'années, nous comptons sur cette Science qui est notre rocher; les vérités qu'elle enseigne ont souvent vaincu la maladie, le manque, l'inharmonie, le marasme.
Je suis très reconnaissant d'avoir appris par la Science Chrétienne à compter toujours sur la présence de Dieu, de l'Amour divin. Cette réalisation a déjà valu de grands bienfaits à ma famille et à moimême.
Ayant obtenu mon diplôme à une université du nord-est des États-Unis, je partis pour la Californie où je passai deux ans dans les affaires — années de désillusions, de maladie, de détresse. Pendant mes études, j'avais toujours été souffrant; mais je compris plus tard que mes maux s'apparentaient étroitement à une disposition d'esprit triste et déprimée.
Pleine du désir d'exprimer ma gratitude et de répandre la bonne nouvelle, je donne le présent témoignage. Je m'adonnais à la morphine dont je prenais de six à neuf centigrammes par jour.