
Témoignages
A la page 109 du livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé, Mrs. Eddy déclare: « La Science Chrétienne révèle incontestablement que l'Entendement est Tout-en-tout, que les seules réalités sont l'Entendement divin et l'idée.
Quand je me tournai vers la Science Chrétienne, j'avais un sérieux problème à résoudre. Plusieurs autres méthodes n'avaient pu remédier à une situation très inharmonieuse.
Lors de mon premier contact avec la Science Chrétienne, je souffrais dans mon corps et dans mon esprit. J'avais été sérieusement blessé pendant la Guerre mondiale et je luttais contre une dépression nerveuse.
Pleine de gratitude pour ce que la Science Chrétienne a fait pour moi, j'offre le témoignage suivant. Pendant toute mon enfance, je passais pour avoir une constitution plutôt frêle et délicate.
Je désire exprimer ma reconnaissance envers la Science Chrétienne pour tous les bienfaits que j'en ai reçus chaque fois que j'ai mis en pratique ses enseignements. Il y a environ trois ans, une excroissance de chair me vint sous la lèvre supérieure.
C'est avec une grande reconnaissance que je veux donner mon témoignage de guérison. Pendant plus de six ans je souffris d'une maladie d'estomac ainsi que d'arthrite.
En 1930, j'épousai une Scientiste Chrétienne. J'essayai par tous les moyens de la convaincre qu'elle ferait bien d'abandonner sa religion, que je croyais fausse.
Au début de décembre 1938, j'eus un érésipèle pour lequel je demandai de l'aide à un praticien. Mon état empira cependant, ce qui effraya beaucoup ma femme parce que nous avions perdu un enfant atteint de cette maladie.
Une profonde reconnaissance m'incite à donner ce témoignage. Grâce au travail spirituel que ma chère sœur fit pour moi en Science Chrétienne, je fus rapidement guérie d'un goitre.
Depuis longtemps je désire exprimer ma reconnaissance de tout le bien que m'a apporté l'étude de la Science Chrétienne, et j'espère que mon témoignage aidera quelque autre pèlerin dans sa marche en avant. J'achetai le livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, en 1908, non parce que je désirais vraiment le posséder, ni parce que je croyais en avoir spécialement besoin à cette époque, mais pour remplir une promesse que j'avais faite à une amie qui commençait à s'intéresser à la Science Chrétienne et dont l'enthousiasme était si grand qu'elle m'avait fait promettre de l'acheter.