
Témoignages
Je sens qu'il me faut relater les grands bienfaits que je dois aux enseignements de la Science Chrétienne. En 1918 je souffrais d'une maladie d'estomac pour le traitement de laquelle mon admission dans un hôpital avait déjà été arrangée.
Il y a trente et un ans, je me trouvai, sans argent ni foyer, dans une ville étrangère; je devais pourvoir à l'entretien de deux fillettes. En moins d'un mois, j'avais perdu mon mari, un home confortable et toutes mes ressources.
Lorsque j’entendis parler de la Science Chrétienne, j’étais menacée d’un effondrement moral et physique. Une praticienne me donna quelques exemplaires du Héraut de la Science Chrétienne, dans l’édition allemande, et je les lus avidement.
Grâce à la Science Chrétienne, j’ai appris à comprendre ces paroles du psaume 91: « Celui qui habite dans la retraite du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Je dis à l’Éternel: “Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je mets ma confiance.
Alors que j’étais jeune fille, je partis pour l’Ouest, afin de passer l’été dans les Montagnes Rocheuses avec mon frère et sa famille. Un mois après mon arrivée à son ranch, mon frère succomba à une méningite cérébrospinale.
L’auteur de ce témoignage jouit depuis des années des bienfaits de la Science Chrétienne et elle est sincèrement reconnaissante du secours que cette Science lui a apporté. Pendant l’épidémie de grippe, en 1918, je souffris d’une sérieuse inflammation des poumons accompagnée d’une forte fièvre.
Une profonde gratitude envers la Science Chrétienne m’engage à donner le témoignage qui suit concernant les nombreuses bénédictions qu’elle m’a procurées. En mai 1936, notre fils âgé de sept ans eut soudain des crises de vertige qui allèrent tous les jours en augmentant.
Je confirme le témoignage de mon mari, et j’exprime moi aussi ma reconnaissance pour les nombreux bienfaits reçus en Science Chrétienne. Notre fillette, âgée de trois ans, souleva le couvercle d’une ruche et fut immédiatement attaquée.
Je désire exprimer ma gratitude sincère pour les bénédictions dues à la Science Chrétienne; ainsi je me joins à la multitude de ceux qui sont reconnaissants parce qu’ils en ont prouvé le pouvoir guérisseur. La première fois que je m’adressai à un praticien, je souffrais des suites d’un accident: un camion que je conduisais avait été tamponné par un train et complètement détruit, à un passage à niveau.
En 1918, je commençai à lire notre livre de texte, Science et Santé, par Mrs. Eddy, dans l’espoir d’aider une autre personne.