Témoignages
Immédiatement après avoir reçu une preuve extraordinaire du pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne, alors qu'une plus claire conviction de l'unicité de l'homme avec Dieu m'apportait la lumière, la paix, l'assurance et l'espoir, je me trouvai soudain sans place et sans argent, mais — je suis heureux de pouvoir le dire — sans crainte. Je savais que la Science Chrétienne résoudrait ce problème, car des maux bien plus sérieux, tels que la maladie et la dissipation, avait été surmontés par l'application de la Vérité.
J'apporte mon témoignage de gratitude à propos d'une guérison que je dois à la Science Chrétienne. Avant de me douter que Dieu est notre seul médecin, notre unique secours dans la détresse, je souffrais beaucoup des yeux; non seulment c'était très pénible mais les docteurs tenaient le cas pour incurable.
Mrs. Eddy, notre révérée Leader, dit, à la page 254 du livre de texte Scientiste Chrétien, Science et Santé: « Si vous lancez votre barque sur les eaux toujours agitées mais salutaires de la vérité, vous affronterez des tempêtes.
Pendant l'hiver 1935–1936, j'étais, du point de vue des sommités médicales, le patient le plus atteint dans un sanatorium antituberculeux comprenant quarante lits. Tous les jours mon état empirait et le médecin traitant attendait chaque matin une issue fatale.
Il y a quelque vingt ans que je connais la Science Chrétienne, qui a transformé ma vie. Après bien des années pénibles, pendant lesquelles je m'appuyais sur la médecine sans obtenir de soulagement, ma mère fut guérie grâce au travail d'une fidèle praticienne.
Lorsque pour la première fois j'entendis parler de la Science Chrétienne, je souffrais d'une sérieuse dépression causée par le surmenage, les études trop intenses; et j'avais toujours plus de peine à continuer mon travail. Tous les efforts des docteurs étaient restés vains.
Pendant plus de cinquante ans je souffris de troubles intestinaux plus ou moins gênants. Plus tard, mon état empira et je dus avoir recours à l'usage journalier des médicaments.
Le cœur plein de joie et de gratitude, je veux relater une merveilleuse guérison que je dois à la Science Chrétienne. En août 1936, je fus piquée au bras gauche par une mouche venimeuse.
C'est d'un cœur humble que j'exprime ma sincère gratitude à l'égard de la Science Chrétienne. Tout ce que je suis, tout ce que j'ai, je le dois à cette Science.
Il y a environ deux ans, alors qu'il me semblait juste de faire le voyage de Californie en prenant l'avion aller et retour, je compris que cela pouvait m'ouvrir une nouvelle ligne de pensée. Au retour, après avoir quitté Cleveland, un terrible orage se déchaîna, mais j'eus la conviction que le vent n'avait pas le pouvoir de gouverner l'homme de Dieu puisque Dieu n'est pas dans le vent.