
Témoignages
Mon grand-père, qui n'est pas Scientiste Chrétien, luttait depuis bien des semaines contre une maladie organique affectant les reins. Le 6 novembre 1937, vers le soir, le médecin traitant le dit à toute extrémité.
Le cœur débordant de gratitude, je veux relater la merveilleuse guérison de ma fillette âgée de huit ans. En 1937, au printemps, elle tomba malade d'une appendicite.
« Voici la journée que l'Éternel a faite. » Tout éveil à la présence de Dieu rend cette vérité plus claire et la conscience que nous en avons tend à devenir permanente.
Les paroles me manquent pour exprimer la gratitude que je ressens à l'égard de notre bien-aimée Leader, Mary Baker Eddy, qui eut le profond et généreux désir d'aider l'humanité, et qui découvrit la Science Chrétienne. La première fois que j'entendis parler de la Science Chrétienne, ne comprenant pas ce que c'était, je la tournai en ridicule; mais, un peu plus tard, je fus amené à corriger mon faux concept.
A l'heure la plus sombre de ma vie, la Science Chrétienne fut pour moi un ange libérateur. Je souffrais alors d'aliénation mentale tenue pour héréditaire dans ma famille parce que mon père avait eu le même mal.
Je suis très reconnaissante de toute l'aide reçue grâce à la Science Chrétienne. Avant de connaître cette Science, je souffrais beaucoup; depuis longtemps j'avais des rhumatismes dans les bras et les mains, de la névrite et une enflure des pieds qu'on attribuait à une mauvaise circulation.
Le cœur pénétré de reconnaissance, je rends témoignage au pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne. Pendant mon enfance, je contractai la paralysie infantile qui fut suivie d'une grande faiblesse.
C'est avec une profonde gratitude envers la Science Chrétienne et envers celle qui l'a découverte et fondée, Mary Baker Eddy, que j'envoie ce témoignage. Depuis l'enfance, je souffrais de migraines tenues pour héréditaires.
Un jour le dentiste me dit que je souffrais d'une stomatite aphteuse pire que toutes celles qu'il avait vues jusqu'alors. Le mal s'était étendu aux os de la mâchoire et il craignait de devoir arracher les dents de sagesse et les grosses molaires.
C'est la tendresse qui m'amena, il y a vingt-six ans, à la Science Chrétienne; lorsque je perdis mon père, la tendresse et la compassion du Christ me furent exprimées par des Scientistes Chrétiens qu'auparavant je ne connaissais point. Le chagrin ne m'envahit pas, et j'attribue cette guérison à la pensée juste de ces Scientistes Chrétiens qui comprenaient que Dieu est Vie, la Vie en laquelle tous les enfants de Dieu habitent éternellement, dans l'harmonie, la perfection, la sécurité éternelle.