Témoignages

La gratitude me pousse à exprimer en paroles, si faibles que celles-ci paraissent, l'immense bonheur que l'étude et l'application de la Science Chrétienne m'ont apporté. Lorsqu'on me parla pour la première fois de la Science Chrétienne, j'étais athée — égoïste, plein d'amertume et parfois peu scrupuleux dans mes rapports avec autrui.

La Science Chrétienne me fut présentée il y a plus de vingt-trois ans, alors qu'on s'apprêtait à m'opérer d'un goitre. L'ostéopathie et l'application fréquente de l'électricité n'avaient donné aucun résultat; le mal empirait toujours.

Voici la manière dont je fut amenée à m'intéresser à la Science Chrétienne. Depuis des années d'éminents médecins me demandaient comme assistante lorsqu'ils opéraient à l'hôpital ou dans leur propre cabinet.

Je désire exprimer ici ma reconnaissance envers Dieu qui m'a conduite à la Science Chrétienne, et ma gratitude envers Mrs. Eddy, qui avec tant d'amour et de patience, a exposé la Science Chrétienne d'une façon si claire que tous peuvent obtenir les bénédictions promises dans la Bible.

Je suis heureuse de donner mon témoignage, en reconnaissance de tous les bienfaits reçus depuis que je pratique la Science Chrétienne. Il y a plus de douze ans qu'une amie me parla de cette Science que je ne connaissais pas.

Il y a environ trente-six ans, je passai trois mois dans la maison d'une praticienne, où la Science Chrétienne était vécue d'une manière convaincante. Pendant ce séjour, j'acquis la certitude que cette religion est pratique, qu'elle peut nous aider chaque jour plus que la religion à laquelle je m'étais sincèrement rattachée.

C'est avec une profonde gratitude pour les nombreux bienfaits reçus grâce à la Science Chrétienne que je donne ce témoignage; j'espère qu'il rendra service à d'autres personnes, luttant contre des difficultés apparemment insurmontables. Le pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne me fut prouvé pour la première fois quand je souffrais de calculs biliaires.

Pleine de reconnaissance envers Dieu et la Science Chrétienne, je désire relater la merveilleuse guérison de ma fille. En 1930, par un jour d'été, je dis à ma fillette, alors âgée de huit ans, d'aller jouer dehors, ce qu'elle fit, mais à contrecœur.

Une profonde gratitude, le sentiment du devoir et un sincère désir d'aider mon prochain me poussent à donner le témoignage qui suit. Un matin, il y a quelques années, en sortant de la maison, je sentis que mes chevilles cédaient et j'eus besoin d'aide pour rentrer chez moi.

L'un de mes plus anciens souvenirs est celui d'une dame assise au chevet de ma mère et l'engageant à dire tout haut l'oraison dominicale. Ma mère répétait la prière, quoique ses lèvres pussent à peine prononcer les mots.