En 1930, j'épousai une Scientiste Chrétienne. J'essayai par tous les moyens de la convaincre qu'elle ferait bien d'abandonner sa religion, que je croyais fausse. Toutefois, elle y resta fidèle. En 1933, pendant l'automne, je commençai à lire The Christian Science Monitor. Un soir que je me sentais enrhumé, ma femme me dit: « Si tu lis la Leçon-Sermon de la semaine à l'aide du Livret Trimestriel de la Science Chrétienne, demain matin le rhume aura disparu. » Alors elle me montra la manière de procéder, et le lendemain, en effet, je n'étais plus enrhumé. Ce fut ma première guérison en Science Chrétienne.
Peu de temps après, notre petite fille de six mois tomba malade. Elle avait de la fièvre et nous étions tous deux très inquiets. Ma femme me dit: « Il nous faut appeler un praticien ou un médecin. Lequel veux-tu? » Je lui dis de téléphoner à un praticien, ce qu'elle fit. L'amélioration fut si rapide que j'en fus frappé. En un quart d'heure le bébé alla mieux et le lendemain matin il n'y avait plus trace de fièvre. Ceci me fit voir qu'il y avait réellement dans la Science Chrétienne un fond de vérité. Je commençai à l'étudier sérieusement; je fréquentai les conférences et les cultes et je passai tous les jours quelques instants à la Salle de lecture dans le quartier des affaires pour y lire la Leçon-Sermon.
Je fumais depuis vingt-cinq ans et cette habitude s'était invétérée; pendant la journée j'avais constamment le cigare ou la pipe à la bouche. Un soir, tout en fumant, je me mis à lire Science et Santé de notre révérée Leader, Mary Baker Eddy. Lorsque je déposai ce précieux livre, vers minuit, je déclarai à ma femme que je venais de fumer mon dernier cigare. Je fus complètement guéri ce soir-là par la lecture de ce que dit notre Leader sur cette question dans Science et Santé (p. 407): « Lancer des bouffées de fumée désagréable, ou mâchonner une feuille qui, de sa nature, n'a d'attrait pour aucune créature sauf un ver répugnant, est tout au moins dégoûtant. » Cela eut lieu le 13 décembre 1933, peu de temps après que j'eus entrepris l'étude de la Science Chrétienne. Bien d'autres mauvaises habitudes ou défauts furent rapidement surmontés — le penchant au jeu, l'usage de la bière, l'habitude de jurer. Grâce à un témoignage que j'entendis à une réunion du mercredi soir, je fus guéri du goût que j'avais pour le café et le thé, alors que depuis ma petite enfance je ne pouvais m'en passer. L'étude de la Science Chrétienne nous a, en outre, apporté beaucoup d'autres guérisons.
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