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Comme premier bienfait dû à la Science Chrétienne, je fus guérie il y...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1940


Comme premier bienfait dû à la Science Chrétienne, je fus guérie il y a près de vingt-cinq ans, d'une inflammation coxalgique en lisant Science et Santé, par Mrs. Eddy. J'avais eu ce mal dès ma première enfance: quand j'étais toute petite, à cause de ce qu'on appelait tumeur blanche, il avait fallu pendant une année me porter sur des coussins. Selon l'opinion médicale d'alors, cela finirait par la tuberculose osseuse et le mal était sans remède. Mon père et ma sœur moururent de la tuberculose. Je soignais cette sœur, il y a vingt-sept ans, lorsque tout à coup mes forces s'effondrèrent.

Pendant deux ans je fus presque toujours souffrante, passant la plus grande partie de mon temps au lit. Les principaux chirurgiens de la ville m'ordonnèrent de porter constamment un lourd appareil orthopédique d'acier et de cuir. Chaque fois que je quittais le lit, pendant ces deux ans, je m'appuyais sur des béquilles, et mon pied droit ne touchait jamais le plancher. Plusieurs chirurgiens dirent que j'avais une périostite tuberculeuse, maladie de la membrane recouvrant les os. D'autres disaient que c'était la tuberculose osseuse, et ils se proposaient de vider les abcès à la hanche avec des drains en argent, et de me mettre dans le plâtre depuis la ceinture jusqu'aux pieds. Je fus traitée dans un sanatorium au Texas, et aussi par un célèbre spécialiste mexicain; mais on ne pouvait que me donner des narcotiques pour apaiser la douleur aiguë et constante.

En avril 1914, une amie me donna un exemplaire de Science et Santé et me demanda de lire le chapitre sur la Prière. Mais je n'étais sans doute pas encore prête à écouter, car cinq mois se passèrent avant que j'ouvrisse ce livre. Cependant après en avoir commencé la lecture, je vis bientôt que j'avais trouvé ce que mon cœur désirait. Je lisais toute la journée et jusque tard dans la nuit. En même temps j'étudiais, faisant ma propre Concordance du livre, car je ne savais pas alors qu'on pouvait se procurer une Concordance. Je lus le livre du commencement à la fin, et je prouvai la vérité de ce que déclare Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 162): « La Science Chrétienne... change les sécrétions, chasse les humeurs, dissout les tumeurs, détend les muscles raidis, et remet en bon état les os cariés; » en effet, trois semaines avant Noël, je me trouvai soudain guérie. Je mis de côté mes béquilles et mon appareil orthopédique et je fis seule un trajet d'environ dix minutes, pour aller passer la journée chez l'amie qui m'avait donné le livre. Depuis cette guérison, j'ai joui d'une bonne santé et je n'ai jamais eu de douleurs.

Environ deux ans après ma guérison, comme on me priait de me faire examiner par un des chirurgiens qui m'avaient traitée, je crus plus sage d'autoriser cet examen. Et voici ce que contenait sa déclaration, écrite pour le gouvernement: « Il n'y a ni indice, ni vestige de sinus à l'articulation de la hanche. » Pour moi, voici le secret de cette merveilleuse guérison: tout étrange que cela puisse paraître, ce n'était pas en vue d'une guérison physique que j'avais lu Science et Santé, bien que ce fût apparemment ce dont j'avais le plus besoin. Les instructions reçues dans ma jeunesse ne me satisfaisaient plus, et je cherchais sincèrement la vraie théologie. « C'était cette théologie de Jésus qui guérissait les malades et les pécheurs » (ibid., p. 138). Je trouvai le Christ en lisant le livre de texte.

Je suis reconnaissante d'avoir été délivrée de l'esclavage physique, mais plus reconnaissante encore de l'inspiration reçue par l'étude de la Science Chrétienne, qui interprète scientifiquement la Bible, et nous met à même de réaliser ses promesses et d'utiliser ses vérités dans la vie de chaque jour. L'étude régulière des Leçons-Sermons du Livret Trimestriel de la Science Chrétienne est la plus grande bénédiction que j'aie jamais reçue. La Science Chrétienne m'apprend aussi à me défendre « contre la déification de la personnalité limitée » (Miscellaneous Writings, par Mrs. Eddy, p. 307). Cette religion me conduit à un sens plus élevé de ce que représente la vraie parenté et de ce qu'elle fait pour nous.

Les paroles ne sauraient exprimer mon appréciation de l'œuvre qu'accomplit La Société d'Édition de la Science Chrétienne. Le Manuel, le Monitor et l'Hymnaire sont mes compagnons de chaque jour; grâce à eux et aux autres publications, je sens toujours la présence de Dieu. Le cours d'instruction et l'enseignement que j'ai donné pendant quinze ans à l'École du dimanche de la Science Chrétienne ont été pour moi une grande joie. Je désire sincèrement prouver ma reconnaissance par une vie consacrée au bien.

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