Témoignages
J’avais été élevée dans une religion chrétienne et l’on m’avait enseigné que l’adversité devait être supportée de bon gré, puisque tout dans la vie, bien ou mal, est envoyé par Dieu. Mais les événements auxquels je dus faire face pendant la seconde guerre mondiale dépassèrent mon endurance mentale et physique.
Il y a plus de sept ans, j'ai terminé mes études universitaires et j'ai commencé avec bonheur ma carrière d'enseignante dans une école maternelle. Je découvris bientôt, toutefois, que les cours que j'avais suivis à l'université et les théories académiques, philosophiques, que l'on m'avait enseignées ne m'avaient pas préparée à ce qui m'attendait dans la classe.
La puissance curative de la Science Chrétienne se manifeste dans la vie de ceux qui l'étudient. Quand une guérison est lente, elle a du prix en raison de la foi, de la patience et du courage qui sont exigés.
Il y a une vingtaine d'années, je me sentais une personne privilégiée, quelqu'un à qui il avait été beaucoup donné: beauté, intelligence, talent, succès, relations intéressantes dans le monde de l'art et de la culture (étant moi-même peintre, écrivain et journaliste), mais j'étais cependant un être triste et malheureux. Influencée par la tradition religieuse de ma famille, j'avais accepté avec amertume la notion que possédant tant de choses, je devais les payer très cher.
Pendant ma jeunesse, j'eus à faire face à de nombreux problèmes physiques, parmi lesquels des difficultés d'élocution. De grands spécialistes en diagnostiquèrent à plusieurs reprises la cause comme étant une maladie nerveuse contre laquelle ils ne pouvaient rien.
J’écris ce témoignage pour rendre gloire à Dieu, « pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme ! » (Ps. 107:21).
Peu après ma naissance, un médecin orthopédique me mit les jambes dans le plâtre. Il informa aussi mes parents que, lorsque le moment serait venu pour moi de marcher, j’aurais besoin de chaussures orthopédiques.
Il y a quelques années, le cancer du sein faisait la une des journaux. Plusieurs femmes connues avaient subi une opération en conséquence de cette maladie et l’on ne parlait que de cela.
Au cours d'un week-end où ma femme était absente, je souffris de ce qui paraissait être des calculs rénaux. J'étais de service ce dimanche comme chef huissier dans notre église filiale, et je ne voulais pas être absent.
Un praticien de la Science Chrétienne avait présenté à mes parents le système de guérison que constitue cette religion en disant simplement: « Ce soir, prenez votre Bible, et étudiez la Prière du Seigneur et le Psaume quatre-vingt-onze. » A cette époque, les médecins de la compagnie où travaillait mon père lui avaient dit qu'il ne marcherait plus jamais.