Témoignages
C'est en lisant un article religieux du Christian Science Monitor que j'eus pour la première fois un aperçu des enseignements de la Science Chrétienne Christian Science (´kristienn ´saïennce) . (A l'époque, j'étais en visite chez une proche parente qui s'était abonnée au Monitor parce qu'elle trouvait que les nouvelles y étaient traitées de façon objective.
Je remercie Dieu de nous avoir donné la Science Chrétienne, qui m'a apporté de nombreuses bénédictions. J'ai fait la connaissance de la Science Chrétienne en écoutant à la radio l'émission « La Vérité qui guérit ».
Le témoignage suivant a été envoyé par une personne vivant dans un pays où les droits de l'homme et la liberté religieuse sont largement réprimés. Voilà quelques années, j'ai traversé une crise personnelle qui a totalement changé ma vie.
J'avais environ six ans lorsque je commençai à avoir de graves rhumes et ceux-ci me rendaient très sourde, spécialement en hiver. J'avais parfois beaucoup de peine à entendre ce que disait ma maîtresse à l'école.
Il y a de nombreuses années, ma mère avait une voisine qui était Scientiste Chrétienne. Cette dame était également une arrière-grand-mère qui avait dans les quatre-vingts ans.
Lorsque mon mari eut terminé ses études au début de l'année 1982, il commença à chercher un emploi adéquat. Il devint rapidement évident que dans notre ville, il n'y avait pas de travail disponible correspondant à ses capacités.
Le chômage apparaît comme un fait très répandu dans le monde d'aujourd'hui. Mais grâce à la prière, on peut le voir comme une occasion de progrès spirituel.
Je suis très reconnaissante au sujet de la Science Chrétienne*. Il y a plusieurs années, je fumais énormément de cigarettes et de la marijuana et je buvais pour fuir mes difficultés.
Depuis mon enfance j'avais un grand désir: je voulais travailler dans la coiffure. Nous vivons en Indonésie à une époque où je ne voyais aucune possibilité d’apprendre ce métier.
En novembre 1979, un médecin me déclara que j’étais atteinte d’arthrite incurable. Il me dit que je pouvais continuer à suivre un traitement médical et que, chaque fois que la douleur serait trop violente, je pourrais prendre des calmants et me faire des piqûres.