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La Science Chrétienne*, c'est une aide si formidable dans la famille...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1983


La Science Chrétienne*, c'est une aide si formidable dans la famille ! Je ne saurais imaginer être une maîtresse de maison bien occupée et une mère de trois enfants pleins d'activité sans ce grand bienfait. Il n'y a aucun aspect de l'existence qui ne puisse être enrichi par l'étude et l'appréciation de la Bible et de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy. Mon mari et moi avons eu de nombreuses preuves merveilleuses de la façon dont la loi de Dieu gouverne notre vie. Je suis tout spécialement reconnaissante que nos enfants apprennent à se servir des vérités spirituelles qui leur sont enseignées à l'École du Dimanche de la Science Chrétienne. Ils savent maintenant qu'il leur suffit de recourir à la Bible et à Science et Santé pour trouver la solution de tout problème.

Notre fils aîné, qui a treize ans, s'est blessé récemment à la jambe en jouant au rugby à l'école. L'infirmière de l'école me téléphona pour m'annoncer l'incident. Elle me dit qu'elle s'était préparée à emmener notre garçon à l'hôpital pour poser des agrafes et administrer une piqûre antitétanique, lorqu'elle se souvint que nous étions Scientistes Chrétiens; aussi, au lieu de cela, elle ne fit que nettoyer l'enfant et elle le renvoya à la maison.

Il arriva bientôt. Il m'assura immédiatement qu'il avait déjà reconnu que Dieu ne connaît pas d'accident. Puis il demanda si nous pouvions prier ensemble, ce que nous fîmes. Nous avons téléphoné à un praticien de la Science Chrétienne pour qu'il nous aide par la prière. Nous nous sommes également souvenus que Mrs. Eddy déclare dans Science et Santé (p. 424): « Les accidents sont inconnus à Dieu, l'Entendement immortel, et nous devons abandonner la base mortelle de la croyance et nous unir à l'unique Entendement, afin de remplacer la notion de hasard par le vrai sens de la direction infaillible de Dieu et faire ainsi paraître l'harmonie. » Nous avons affirmé que l'homme est inséparable de Dieu, son Créateur, et reconnu que l'homme ne peut jamais en aucune façon être isolé du bien.

Le résultat fut que notre fils retourna sur le terrain de rugby quelques jours après seulement, en parfaite forme. J'étais reconnaissante que ses amis fussent témoins de cette prompte guérison.

Un autre jour, notre fille, qui a maintenant onze ans, avait sur un pied une verrue qui lui interdisait la natation à l'école. Plusieurs de ses amies souffraient également de cette difficulté et se faisaient opérer ou avaient recours à d'autres formes de traitement médical. Mais nous voulions aller jusqu'à la racine du mal et le détruire pour de bon. Avec l'aide d'un praticien de la Science Chrétienne, nous avons reconnu la vérité de la perfection de l'homme. Ayant lu dans le premier chapitre de la Genèse que « Dieu vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon » (v. 31), nous avons raisonné en nous disant que Dieu n'avait évidemment pas créé la verrue, car cela n'était certainement pas bon du tout. Cependant, la difficulté ne céda pas rapidement.

Puis un jour, notre fille revint de l'école avec une formule de parrainage à remplir en vue d'une épreuve de natation destinée à rapporter de l'argent à son école et elle nous demanda d'accepter de la parrainer. Je pensai: « Oh ! là ! là ! La verrue ! Elle ne pourra pas nager. » Mais immédiatement j'affirmai et réaffirmai avec persistance la vérité de son être en tant qu'enfant bien-aimée de Dieu. Alors, nous avons été de l'avant et lui avons rempli sa formule, bien que la verrue fût toujours là. Deux jours plus tard, il n'y avait plus aucune trace de la verrue; elle avait disparu. Et bien que notre fille eût manqué considérablement d'entraînement en natation, elle nagea plus loin que personne n'avait espéré. Comme nous étions reconnaissants !

Notre fils cadet, qui a cinq ans et qui vient d'entrer à l'école primaire, fut ramené à la maison un jour par un ami. Un de ses petits camarades se retournant soudainement lui avait coupé le visage et la lèvre avec un couteau en plastique. Je pris mon fils sur mes genoux et lui dis que la première chose que nous avions à faire, c'était de vraiment aimer l'autre petit garçon, de lui pardonner, et de savoir que nous sommes réellement tous des enfants de Dieu, aimants et pleins d'attentions. Il fut facilement d'accord là-dessus et le lendemain matin, il était complètement guéri.

A la même époque, une épidémie d'oreillons se répandit. Je n'y prêtai guère attention jusqu'au jour où ce même fils en manifesta tous les symptômes. Nous avions eu une nuit plutôt agitée, et à l'heure du repas je remarquai que sa figure et son cou étaient très enflés. Comme je priais, j'entrevis une glorieuse lueur du moi parfait de l'enfant à la ressemblance de Dieu, pendant un bref instant. Je savais que la guérison s'était accomplie, et la chose se confirma. Une demi-heure plus tard, toute enflure avait disparu et son visage avait retrouvé sa forme et sa couleur normales.

Lorsque ce même enfant venait d'avoir cinq mois, une nuit, sa respiration devint très difficile. Je pris contact immédiatement avec une praticienne, et elle pria pour notre fils. Je lui téléphonai trois fois pendant la nuit, car le bébé semblait aller plus mal. Vers cinq heures du matin, pour nous conformer à la loi, il parut nécessaire de faire appel à un médecin. Je le fis, et l'un d'eux vint nous voir immédiatement. Il examina le bébé et déclara qu'il fallait le conduire à l'hôpital. Je me souviens très bien avoir déclaré très calmement mais fermement que je préférais que l'enfant n'aille pas à l'hôpital. Personne n'ajouta rien, et le médecin s'en alla après avoir dit que s'il y avait le moindre changement, je devrais lui téléphoner immédiatement. La praticienne continua de prier. Un autre médecin nous rendit visite durant la matinée. A ce moment-là, l'enfant était pour ainsi dire guéri, et il fut parfaitement bien plus tard dans la journée.

Une autre fois, ce même petit m'avait vue me maquiller les yeux, et il avait probablement décidé d'en faire autant. Mais voilà, il utilisa du vernis à ongles. Nous ne pouvions plus lui ouvrir les yeux. Je téléphonai à une praticienne mais je ne pouvais entendre un seul mot de ce qu'elle disait à cause des hurlements que poussait l'enfant. « Laissezmoi parler à l'enfant », dit la praticienne. Je mis l'écouteur à son oreille et il se tut. Puis je pris un linge propre et j'essuyai simplement l'œil — et tout le vernis s'en alla. Ce fut l'affaire de quelques minutes et l'enfant se sentit bien et se remit à jouer.

Il y a une vingtaine d'années, alors jeune adolescente, j'étais allée dans le District des lacs avec une amie. Au cours de ces vacances, j'eus un accident d'autocar. Mon visage heurta de plein fouet un poteau de métal. Je dus être conduite chez un dentiste de l'endroit, car mes dents étaient touchées. Il m'informa que les racines des deux dents de devant étaient endommagées et que je les perdrais très certainement. Comme je rentrais chez moi le lendemain, il me conseilla d'aller tout de suite chez mon dentiste habituel.

Je retournai à l'hôtel, m'étendis sur le lit et pris mon exemplaire de Science et Santé. Je n'avais guère jusqu'alors réellement prié pour moimême, mais à ce moment-là, je priai du mieux que je pus pour que Dieu me vînt en aide. Les premiers mots qui tombèrent sous mes yeux en ouvrant Science et Santé furent: « L'inflammation est la crainte. » [La phrase complète est celle-ci (p. 414): « L'inflammation est la crainte, un état de surexcitation des mortels qui n'est pas normal. »] Étant donné que mon visage et ma bouche étaient terriblement enflammés, je sentis que ce passage était la clef et le but de mon travail: vaincre la crainte. (J'avais eu recours à la Science Chrétienne précédemment pour mes dents, un dentiste m'ayant dit que je perdrais mes dents avant d'avoir vingt ans, en raison de leur faiblesse. Et une belle guérison s'en était suivie.)

Je fis alors appel à la même praticienne pour être aidée et je n'allai pas voir de dentiste pendant un certain temps. Une magnifique guérison se produisit. Non seulement mes deux dents de devant redevinrent fermes, mais une molaire qui avait une grosse carie redevint saine, le trou s'étant rebouché. Lorsque je fis part de cet incident à un dentiste récemment, il fut surpris, car maintenant mes dents sont bonnes et solides.

Ce qui précède représente une partie seulement des nombreuses guérisons que nous avons eues dans notre famille. Les mots seuls ne pourront jamais exprimer toute la gratitude et l'amour que je ressens pour la Science Chrétienne.


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