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Depuis l'introduction de la Science Chrétienne dans notre famille,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1983


Depuis l'introduction de la Science Chrétienne dans notre famille, nous avons reçu de nombreux bienfaits. Des rapports tendus ont été assouplis, des divergences personnelles ont été résolues d'une façon harmonieuse, et les ressources ont été abondantes. Quand il nous fallut déménager par suite de la construction d'une nouvelle autoroute, nous avons trouvé une maison encore plus agréable; cette démonstration fut le résultat de notre prière pour acquérir une compréhension plus spirituelle du vrai foyer.

A un certain moment, notre fillette eut des zébrures rouges sur tout le corps. Ensemble, nous avons parlé du grand amour de Dieu pour Ses enfants, et nous avons aussi médité cette déclaration de Mrs. Eddy dans Science et Santé (p. 463): « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d'erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » Notre fille fut bientôt guérie. Une autre fois, je fus guérie en un jour de ce qui semblait être une pneumonie. C'est à peine si je pouvais parler au praticien de la Science Chrétienne qui accepta de prier pour moi, mais avec son aide, je recouvrai la voix dès le lendemain.

La difficulté qui m'amena à la Science Chrétienne était un problème personnel difficile dans notre ménage. Je priai « sans cesse » pour comprendre Dieu et la relation spirituelle de l'homme à Dieu. Bientôt, je pus voir Son amour opérer dans d'innombrables situations — y compris mon mariage — où il fallait une guérison, et qui furent guéries à ce moment-là.

En août dernier, mon mari et moi, en compagnie d'un jeune ami d'Australie roulions sur une route nationale au Mexique lorqu'une camionnette heurta notre voiture du côté du passager. Le véhicule avait mordu sur le bas-côté, et comme le chauffeur conduisait trop vite, il en avait perdu le contrôle. Ressentant une douleur intense dans les côtes, je déclarai silencieusement que Dieu était ma Vie. Tandis que notre voiture dérapait rapidement et se mettait en travers de cette route très passagère, je reconnus calmement que Dieu gouvernait Son royaume d'une façon parfaite. Notre voiture se faufila doucement à travers les voitures venant en sens inverse, puis heurta de côté une auto qui approchait; ensemble, elles quittèrent la route et s'arrêtèrent. Je restai assise et priai, affirmant que l'homme et Dieu ne font qu'un en réalité. Je me rappelai aussi la réalité spirituelle que « sous la Providence divine, il ne peut y avoir d'accidents, puisque dans la perfection il n'y a pas de place pour l'imperfection » (Science et Santé, p. 424). Un sentiment profond de gratitude me remplit à la pensée que nous étions tous sains et saufs, bien que je fusse blessée aux côtes, au bras et à la jambe.

Le jour suivant, mon mari s'occupa des formalités à remplir au sujet de la voiture, tandis que je passai mon temps à étudier la Bible et Science et Santé. Je priai aussi pour prendre conscience de la réalité spirituelle de cette déclaration (ibid., p. 259): « La compréhension, semblable à celle de Christ, de l'être scientifique et de la guérison divine renferme un Principe parfait et une idée parfaite — Dieu parfait et homme parfait — comme base de la pensée et de la démonstration. » Je me sentis entourée par l'Amour, et je reconnus que chaque idée spirituelle se meut en harmonie avec son Principe divin.

Notre fils vint nous chercher le lendemain matin. Alors que je m'habillais pour partir, une côte se remit doucement en place, et je me réjouis en silence. En arrivant chez nous, je demandai à un praticien de m'aider à maîtriser la croyance à la douleur qui semblait si tenace. Par la suite, chaque jour, les suggestions agressives de blessures furent graduellement réduites au silence au fur et à mesure que tout redevenait normal, la cage thoracique d'abord, puis le bras, et finalement la jambe. Plusieurs semaines après, mon mari et moi entendîmes une autre côte se remettre en place. Cela mit fin au dernier petit ennui. Le travail de Dieu ne laisse rien d'inachevé.

Pendant que tout ce travail s'accomplissait, ni mon mari ni moimême ne racontâmes l'incident à qui que ce fût à l'exception de notre fils qui vint nous chercher, jusqu'à ce que la guérison fût totale. Pour ma part, je me rendis compte d'une façon frappante que nous n'avons pas à accepter les prétentions de la matière, car elles n'ont aucun fondement dans la Vérité.


Je suis heureux de confirmer que le témoignage de ma femme ainsi qu'il est raconté plus haut, est véridique.

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