Pour un Scientiste Chrétien, la difficulté c'est qu'il ne s'agit pas simplement de décider si on acceptera ou non un verre de temps en temps. Certains prétendent qu'un peu de ce liquide qu'on appelle alcool, pris modérément, ne peut provoquer de ravages ni d'un point de vue physiologique ni d'un point de vue physiologique Mais ce n'est pas la boisson elle-même qui provoque des ravages; c'est ce que symbolise le fait de prendre de l'alcool.
Peu de libertés sont aussi précieuses que la faculté de penser clairement, de penser sans ambiguïté ni confusion. Fondamentalement, l'usage de l'alcool représente un concept. Il symbolise une méthode, aux racines profondes, de renoncement à la liberté mentale. C'est l'exemple d'un cas précis où les gens accordent à la matière le pouvoir de modifier — ou même de contrôler — le processus de la pensée.
Dans la mesure où l'influence divine du Christ, la Vérité, prend le pas sur le matérialisme pour gouverner la conscience, notre faculté de penser devient claire et pure. En fait, penser comme le Christ est la seule façon de se délivrer d'une mentalité emprisonnée par des croyances en la réalité de la matière. La modération n'est pas vraiment une solution au problème de l'alcool parce qu'en fait, nous sommes confrontés à un concept: acceptons-nous d'aliéner une certaine partie de notre liberté de penser ? Pour les Scientistes Chrétiens, la question n'est pas de savoir dans quelle proportion on peut renoncer à sa liberté, mais de savoir si on veut y renoncer tant soit peu.
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