Après avoir été les témoins de la guérison rapide de David, nous avons tous grandi spirituellement.
Quand David est arrivé, je lui ai nettoyé la tête et fait un pansement, et j'ai refusé de m'effrayer. Il m'a été utile de penser aux vérités spirituelles qu'une nurse de la Science Chrétienne pourrait déclarer en pareille circonstance. Certainement, l'affirmation de la pureté de l'homme serait fondamentale, pensai-je. Aussi, j'affirmai que rien ne peut porter atteinte à cette qualité — toujours intacte puisqu'elle est spirituelle.
En outre, avec mon mari, nous avons refusé d'accepter la croyance aux blessures et la crainte d'une commotion cérébrale. Nous avons affronté chaque symptôme physique avec calme, confiants en Dieu. J'ai calmé mon sens humain de pitié maternelle en étudiant dans les écrits de Mrs. Eddy la différence entre la pitié et le pouvoir Christ de la compassion.
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