Témoignages
Il y a plusieurs années, nous devions faire face aux dépenses liées à la rentrée scolaire de nos trois enfants et d'une petite sœur. Les moyens dont nous disposions étaient vraiment insuffisants, vu la situation.
Depuis l’âge de 3 ans jusque dans mes années de lycée, j’ai souffert de fréquentes infections de la gorge et de rhumes qui provoquaient un asthme bronchique infectieux chronique. Cette maladie et d’autres me forçaient à garder le lit pendant des semaines, plusieurs fois par an.
Quand j’étais adolescent, je suis entré dans un internat de garçons, à environ 450 km à l’ouest de Nairobi. Cela impliquait un changement de climat pour moi.
Au moment où j'ai connu la Christian Science, j'étais profondément découragée. Mon salon de coiffure ne marchait pas bien et j'avais peur de tout.
A la suite d'un déménagement, nous habitions dans une des maisons appartenant à une société immobilière de la place, en qualité de locataires. Après quelque temps passé dans cette maison, mon épouse et moi avons éprouvé le désir sincère de l'acquérir.
Un jour, j'ai effectué un voyage de Kinshasa à Kinsangani qui est la troisième ville de notre pays, la République démocratique du Congo. Accompagné d'un ami, j'y ai fait l'achat de paquets d'aiguilles d'une valeur de cent dix dollars américains.
J’étais encore toute nouvelle dans l’étude de la Christian Science, lorsque ma fille cadette, qui était en dernière année à l’université, m’a appelée pour me dire qu’elle était allée à l’infirmerie où on avait diagnostiqué un ulcère. Le médecin lui avait demandé s’il y avait eu des antécédents dans la famille.
En 1980, j’avais signé un contrat avec une maison spécialisée en agro-alimentaire pour la fourniture de carottes. J’avais semé les graines dans un terrain sablonneux qui n’avait pas la possibilité d’être irrigué.
Le chef-d’œuvre de Miguel de Cervantes, Don Quichotte, raconte l’histoire d’un aristocrate au grand cœur, maladroit et pauvre qui s’imagine être le chevalier idéal. A la fin, Don Quichotte meurt, mais il laisse en héritage à Sancho Panza, son compagnon paysan, ce qu’il lui a appris sur la bonté.
Il y a environ huit ans, j’ai commencé à souffrir d'un durcissement sur un côté de la poitrine, et la douleur était persistante. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait d’une maladie incurable dont j’avais beaucoup entendu parler.