Témoignages
Quand j’attendais ma fille aînée, je venais juste de commencer à étudier la Christian Science. Après chaque visite mensuelle chez la gynécologue, je me rendais chez une praticienne de la Christian Science.
J’avais fait une grande partie de mes études sous la tutelle de ma sœur aînée qui, à l’époque, assumait à mon égard la responsabilité de père et de mère. A un moment donné, j’ai été obligée par les circonstances de quitter la capitale et de poursuivre mes études universitaires dans une autre région de mon pays.
Il y a de nombreuses années, j’habitais à Kinshasa, dans ce qui s’appelle à présent la République démocratique du Congo. Quelque temps plus tard, je suis allé à Lubumbashi, dans le sud, pour continuer mes études.
Pendant les deux ans qu’a duré mon premier mariage, mon mari et moi avons essayé, sans succès, d’avoir un enfant. Nous avons consulté des médecins spécialistes et fait de nombreux examens.
Un jour, mon mari m'a fait remarquer que j'avais un grain de beauté dans le dos qui s'était enflammé; il craignait que ce ne soit le début d'un cancer de la peau. Il était inquiet, parce qu'il connaissait bien les symptômes de cette maladie.
Voici de quelle manière l’Amour divin a pourvu à mon besoin de protection lorsque les rebelles sont arrivés dans la province du Bas-Congo, en République démocratique du Congo, aux mois d’août et de septembre 1998. Après que l’armée gouvernementale eut récupéré une base militaire importante dans la région, et que les rebelles n'eurent pas réussi à s’emparer de l'aéroport de Kinshasa, ces derniers ont commencé à fuir dans tous les sens.
A l'âge de seize ans, en me rendant chez une amie, j'ai perdu connaissance dans la rue et un examen médical a révélé que je souffrais d'épilepsie. A la suite d'autres analyses, on m'a dit que j'étais sujette à des crises, des pertes de conscience, des maux de tête, des absences et des problèmes de concentration.
Il y a trois ans, j'ai commencé à avoir des malaises. Je ne me sentais pas bien du tout et mes journées étaient devenues pénibles.
Un jour, en octobre 2002, je faisais mes courses après ma journée de travail quand soudain j’ai pratiquement perdu l’usage de mon œil gauche. D'abord, j'ai été tentée de me demander pourquoi.
Il y a une quinzaine d'années, le patron d'une petite entreprise avec qui je travaillais a accepté de donner à un jeune homme une forte somme d'argent en échange d'un chèque d'une somme équivalente à toucher dans une banque en Belgique. J'étais chargé de préparer et de remettre l'argent liquide au jeune homme.