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Des guérisons obtenues pendant mes études de droit

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mars 2025

Paru d'abord sur notre site le 28 octobre 2024.


Au cours de mes années d’enfance et d’adolescence, j’ai souffert à de nombreuses reprises de diverses maladies. La bronchite, en particulier, n’a cessé de récidiver tout au long de mon adolescence. Les médicaments ne m’ont apporté aucun soulagement. L’été qui a suivi ma première année d’université, un médecin m’a recommandé de me faire enlever les amygdales, affirmant que cette opération me libérerait des crises de bronchite. J’ai subi cette opération, puis j’ai réalisé que je souffrais de bronchites plus fréquentes qu’auparavant et tout aussi intenses. A ce stade, j’ai cessé de consulter des médecins. C’étaient des gens formidables qui faisaient de leur mieux pour m’aider, mais leurs traitements ne me guérissaient tout simplement pas.

Quelques mois après avoir obtenu ma licence, je suis entré dans une faculté de droit. L’université était dotée d’une organisation de la Science Chrétienne (CSO). Après qu’un ami m’a parlé de la Science Chrétienne, j’ai assisté aux réunions hebdomadaires de la CSO. Le conseiller du campus pour la CSO était praticien de la Science Chrétienne. Pour faire court : un jour, alors que les symptômes de la bronchite étaient particulièrement agressifs, le conseiller m’a demandé si je voulais qu’il prie pour moi. J’ai humblement accepté son offre et, en un instant ou deux, les symptômes ont tout simplement disparu. J’ai été complètement guéri de cette maladie chronique. (Voir mon témoignage dans le numéro d’octobre 1980 du Christian Science Journal, publication sœur du Héraut.)

Environ un an après cette guérison, j’ai commencé à souffrir d’une maladie alors endémique dans la partie du pays où j’avais déménagé. J’ai prié Dieu pour guérir, mais j’ai également réduit ma consommation alimentaire conformément aux préconisations de l’époque selon lesquelles il fallait manger moins en cas de fièvre.

Après un jour ou deux sans progrès, la lumière s’est allumée dans ma conscience. J’ai compris avec une grande clarté la vérité spirituellement scientifique selon laquelle, parce que Dieu est tout-puissant, Il n’a besoin d’aucune aide pour accomplir une guérison. En fait, mes efforts humains allaient à l’encontre de mes prières, car essayer de faciliter les choses en utilisant un prétendu remède matériel témoignait d’une foi divisée entre l’Esprit ou l’Entendement (des synonymes bibliques de Dieu) et la matière. Sans une pleine confiance dans l’Entendement divin, je ne pouvais pas espérer guérir spirituellement. Comme l’explique Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « Les mortels supplient l’Entendement divin de guérir les malades, et aussitôt, en se servant de moyens matériels, ils excluent l’aide de l’Entendement, agissant ainsi contre eux-mêmes et leurs prières, et désavouant la faculté que Dieu a donnée à l’homme de démontrer le pouvoir sacré de l’Entendement. » (p. 182)

Il y a des versets et des histoires dans la Bible qui montrent clairement que la nourriture ne peut ni nous aider ni nous nuire et qu’éviter certains aliments n’est pas la garantie d’une bonne santé. Par exemple, le livre de Daniel relate que les jeunes hommes qui avaient refusé de manger les mets du roi – censés être plus nutritifs – et qui s’étaient nourris uniquement de légumes ou de céréales et avaient bu de l’eau pendant dix jours, avaient « meilleur visage et plus d’embonpoint » que ceux qui avaient mangé la nourriture du roi (voir 1:3-15). Christ Jésus détournait constamment la pensée du corps, ordonnant à ses disciples : « Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez. » (Matthieu 6:25) Il savait que l’homme est spirituel et que Dieu, l’Amour divin, soutient Ses enfants. Dans la mesure où nous comprenons cela, nous dominons la croyance selon laquelle la nourriture a un pouvoir sur nous.

Après avoir compris cela et reconnu la futilité de suivre les modes relatives à la santé et diverses règles concernant l’alimentation, j’ai mangé un dîner complet, dessert compris, comme je l’aurais fait habituellement. Je me suis senti mieux ce soir-là et, le lendemain matin, il n’y avait plus aucune trace de la maladie, ni ce jour-là ni au cours des nombreuses années qui ont suivi.

Mark Hendrickson
Simpsonville, Caroline du Sud, Etats-Unis

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