Lors d’un week-end de l’été 2020, tout mon corps s’est mis à me faire mal. Cependant, comme j’avais pris du retard pour réaliser un important travail de jardinage pour des voisins et que la pluie s’était arrêtée, j’ai entrepris de le faire le dimanche après-midi.
Alors que je priais à ce sujet, le travail s’est déroulé sans difficulté et, même si je me sentais fatigué en rentrant chez moi, j’allais bien. Mais, pendant le repas, j’ai commencé à me sentir mal. Après avoir dîné avec ma femme, j’étais prêt à monter pour prendre une douche, puis passer un moment tranquille pour prier davantage avant d’aller me coucher. C’est alors que ma femme a suggéré que nous écoutions la rediffusion du service du dimanche de L’Eglise Mère (La Première Eglise du Christ, Scientiste, à Boston), notre activité favorite du dimanche soir. J’ai accepté, malgré ma hâte d’aller me coucher.
Au début du service, j’ai réalisé que j’avais le choix : soit j’y prêtais attention afin d’en tirer quelque chose, soit j’écoutais d’une oreille distraite avant de prendre une douche et d’aller me coucher. J’ai décidé d’être attentif, persuadé que je retirerais des bienfaits de la lecture à haute voix de la Leçon-Sermon de cette semaine, tirée du Livret trimestriel de la Science Chrétienne, comme c’est toujours le cas.
Quand le moment est venu de lire les annonces de l’église, la Première Lectrice a dit : « Ceci est un service qui guérit. » J’ai dit : « Oui, c’est un service qui guérit. » Pendant toute l’heure qui a suivi, j’ai réfléchi au message de guérison de nombreux passages qui me touchaient. A la fin du service, j’étais revigoré, mais je ne me sentais toujours pas bien. J’ai alors déclaré à haute voix : « Dieu n’est pas malade et Il ne ressent aucune douleur, donc moi non plus. » J’ai affirmé que le corps ne me gouverne pas et que Dieu seul me gouverne totalement avec amour. Puis, ces deux passages de la Leçon-Sermon me sont venus à l’esprit :
• « L’homme n’est pas une habitation matérielle pour l’Ame ; il est lui-même spirituel. » (Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 477)
• « Devenez conscient un seul moment du fait que la Vie et l’intelligence sont purement spirituelles, qu’elles ne sont ni dans la matière ni matérielles, et alors le corps ne fera entendre aucune plainte. Si vous souffrez d’une croyance à la maladie, vous vous trouverez soudainement guéri. » (Science et Santé, p. 14)
L’instant d’après, comme l’indique le deuxième passage de Science et Santé, j’étais tout à fait bien. J’étais complètement guéri. C’était comme si une lumière s’était allumée et que l’obscurité avait immédiatement disparu. Je me souviens d’avoir dit : « Je viens juste de sortir d’un rêve. »
J’ai ensuite passé un dimanche soir tout à fait normal, me couchant même un peu plus tard que d’habitude, car je voulais prendre des notes au sujet de cette guérison. Le lendemain, je me suis réveillé en me sentant bien, n’éprouvant aucune gêne, et depuis je me porte bien.
Maintenant, je peux dire avec conviction : « Le service du dimanche guérit ! » Je suis si reconnaissant pour la puissance de l’amour et de la sollicitude dont font preuve tous les services de L’Eglise Mère et des églises filiales du Christ, Scientiste ; ils guérissent, que ce soit en vérité ou en actes !
John F. Cochran II
Princeton, New Jersey, Etats-Unis