J’ai grandi en suivant l’enseignement de l’école du dimanche de la Science Chrétienne, et j’avais obtenu des guérisons par la Science Chrétienne – dont plusieurs guérisons physiques en priant moi-même. Mais quand j’ai quitté la maison pour l’université, il ne m’est pas venu à l’esprit de continuer à fréquenter l’église ou l’école du dimanche. J’ai cependant indiqué (avec une certaine indifférence) que la Science Chrétienne était ma religion sur un questionnaire que j’ai rempli au cours de mon orientation.
Au début, j’aimais beaucoup ma vie d’étudiante, je me faisais de nouveaux amis et j’avais de bons résultats scolaires. Mais au bout de deux ans, je me suis soudain sentie dépassée : les cours devenaient bien plus difficiles et le niveau exigé était plus élevé qu’auparavant. Je n’ai pas tardé à perdre pied. Mes résultats au début de ma troisième année étaient médiocres, et j’ai bientôt compris que j’étais sur une mauvaise pente. Je n’avais jamais eu besoin de travailler très dur pour avoir de bonnes notes au lycée ni durant mes deux premières années de faculté, mais à présent, j’étais terrifiée à l’idée d’échouer. Je ne me voyais pas téléphonant à mes parents pour le leur dire.
Comprenant que je ne pouvais accepter cette nouvelle situation sans rien faire, j’ai décidé de donner une chance à la Science Chrétienne. J’ai ressorti ma Bible et Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy et je les ai emportés avec moi chaque fois que j’allais étudier à la bibliothèque pour préparer mes partiels. Je feuilletais les livres et notais quelques passages que je trouvais utiles, mais mes notes de partiels demeuraient plus catastrophiques que jamais.
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