Il se trouve que j’ai presque le même nom qu’une femme politique bien connue aux Etats-Unis. De ce fait, il m’est arrivé quelques histoires peu banales. Par exemple, on m’a offert des objets souvenirs politiques portant le nom de cette personne et j’ai reçu des e-mails qui lui étaient destinés. J’ai même reçu un appel téléphonique de quelqu’un qui voulait me convaincre de prendre position pour tel aspect d’un projet de loi. Tout cela parce que mon nom correspond à celui d’une personne célèbre !
Cela m’a amenée à réfléchir à une autre façon, plus grave, de nous identifier faussement. Nous avons tellement l’habitude de nous définir en fonction de caractéristiques purement personnelles, des hauts et des bas que nous connaissons, voire de nos particularités apparentes, que nous ignorons peut-être qu’il existe une autre façon de nous identifier – une façon spirituelle, qui nous donne un sens plus clair de notre identité.
La Bible révèle à de multiples reprises cette identité plus profonde, spirituelle, mais j’ai été particulièrement inspirée par ce passage qui nous dit que, lorsque Jésus fut baptisé, « une voix fit entendre des cieux ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection » (Matthieu 3:17). Dieu savait qui était véritablement Jésus. Il avait mis en lui toute Son affection.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !