En mars 2016, j’ai commencé à entrevoir l’étendue et la portée de la Science Chrétienne grâce à deux remarques de Mary Baker Eddy dans Rétrospection et Introspection. Les voici : 1) la connaissance de Dieu est « le seul grand soulagement toujours présent au moment des malheurs humains » ; 2) le mobile qui sous tend toute l’œuvre de Mary Baker Eddy n’a jamais changé, et elle a déclaré qu’il était de « soulager les souffrances de l’humanité par un système sanitaire qui devait contenir toute réforme morale et religieuse » (pp. 31 et 30).
En réfléchissant à ses propos, je me suis rendu compte que j’avais manqué d’enthousiasme dans mes prières pour l’humanité. Jusque-là, je n’avais pas saisi le lien entre la prière désintéressée et mes propres objectifs et ma raison d’être. J’ai compris peu à peu que mes prières pouvaient dépasser le cadre personnel et, grâce à une compréhension semblable à celle de Christ, soulager mes semblables de leurs maux.
A cette époque, des amis professeurs ont attiré mon attention sur certains besoins criants des enfants à l’école primaire, au collège et au lycée : des enfants qui souffrent parfois d’une solitude et d’une tristesse profondes, d’un sentiment d’infériorité et d’inaptitude, ou de harcèlement. Prenant conscience de ce problème, j’ai eu très envie de prier pour les enfants dans le monde.
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