L’hiver dernier, en allant travailler, j’ai glissé et je suis tombé à la renverse dans une allée verglacée. Mon coude a heurté le sol. Après avoir entendu un fort craquement, j’ai ressenti une douleur vive. Je m’étais, semblait-il, cassé quelque chose.
J’ai pu me relever, mais je n’étais pas certain de pouvoir aller travailler. J’ai été tenté d’appeler mon collaborateur pour lui dire que je ne pourrais pas venir, mais je savais qu’il avait besoin de moi pour terminer une tâche qui ne pouvait attendre. J’ai donc appelé un praticien de la Science Chrétienne et je lui ai expliqué la situation. Il m’a dit qu’en tant qu’idée de Dieu, je ne pouvais être impacté que par l’Amour divin. Il m’a également assuré qu’il allait prier pour moi.
A ce moment-là, ce passage familier de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, de Mary Baker Eddy, est venu à ma pensée : « Quand un accident se produit, vous pensez ou vous vous écriez : “Je me suis fait mal !” Votre pensée est plus puissante que vos paroles, plus puissante que l’accident même, à rendre le mal réel.
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