Face à un examen, à un concours ou à toute autre circonstance de la vie où il nous est demandé de « faire nos preuves », qui ne souhaite réussir ?
Nous désirons vivement montrer que nous avons bien appris et compris le sujet étudié, puis obtenir la reconnaissance que nous sommes aptes à aller plus loin dans nos études puis à exercer un métier utile.
Mais si la crainte menace de nous faire perdre nos moyens, il peut être utile d'examiner certains de nos mobiles. Notre but principal est-il d'obtenir une certaine note dans telle ou telle matière ? Consiste-t-il à être plus intelligent qu'un certain nombre d'autres concurrents ? De tels mobiles partent du point de vue que l'intelligence, ainsi que d'autres capacités, est produite, de façon inégale, par des cerveaux qui se trouvent en compétition les uns avec les autres. En fait, c'est ce concept qui engendre les pressions de tous ordres, notamment la crainte de l'échec. Mais ce point de vue est-il valable ?
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