Un jour, j'ai commencé à souffrir d'une grosseur douloureuse au sein. Ayant souvent entendu parler des dangers qu'accompagne ce genre de symptôme, j'avais très peur. Je savais que la guérison spirituelle a lieu dans la conscience, grâce au pouvoir de Dieu. Et je désirais m'appuyer sur Dieu pour guérir. J'ai donc refusé d'examiner mon corps et de chercher ce que je ne voulais ni voir ni sentir.
Au lieu de cela, je me suis tournée vers Dieu. Le passage suivant, tiré de Science et Santé, m'a beaucoup aidée dans mes prières: « Les tumeurs, les ulcères, les tubercules, l'inflammation, la douleur, la déformation des articulations ne sont que des ombres du rêve de l'existence humaine à l'état de veille, de sombres images de la pensée mortelle, qui s'enfuient devant la lumière de la Vérité [Dieu]. » (p. 418)
Je souhaitais voir cette « lumière de la Vérité ». J'ai d'ailleurs commencé à être reconnaissante d'être poussée à prier, d'être forcée à mieux connaître Dieu. Dieu ne m'a pas créée sujette à certaines maladies, mais seulement soumise à Son pouvoir bienveillant. J'apprenais que j'avais le pouvoir, qui me venait de Dieu, de surmonter la douleur et la peur. La vie et l'intelligence ne se trouvaient qu'en Dieu, elles n'étaient pas dans la matière.
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