Science et Santé avec la Clef des Écritures est un livre qui explique comment connaître la guérison, la paix et le bonheur spirituels. Pour bien des gens, c'est le livre de référence de toute une vie. Depuis sa première parution, il y a 125 ans, des millions de lecteurs ont prouvé dans leur propre existence la portée pratique des idées qu'il contient. Ainsi, dans une conversation récente, Theresa Meehan, de Londres, nous raconte comment elle a découvert Science et Santé grâce à une annonce dans le Reader's Digest, et en quoi ce livre a changé sa vie.
En venant habiter à Londres, en 1988, je me suis rendu compte qu'une dimension spirituelle manquait à l'équilibre de ma vie. Je ne saurais dire si cela tenait au fait que j'étais loin de ma famille et de mes amis ou à autre chose. Je fréquentais les librairies et j'étais attirée par les rayons consacrés à la spiritualité, à l'âme et au corps. Pendant neuf ou dix ans j'ai accumulé les livres sur la spiritualité. Les sujets traités variaient selon les auteurs.
Mais le temps passant, j'étais profondément insatisfaite. Un jour – c'était en 1997 – alors que je feuilletais un Reader's Digest, je suis tombée sur une publicité pleine page pour Science et Santé. « L'heure des penseurs a sonné », était-il écrit. La vie de Mary Baker Eddy était également évoquée brièvement. Je n'avais jamais entendu parler d'elle, mais j'ai pensé: « Ça alors, ça me paraît vraiment intéressant ! »
J'ai détaché la page du magazine, et je l'ai gardée sur moi. Je l'ai emportée à mon travail le lendemain et, pendant l'heure du déjeuner, je suis allée dans deux librairies sans pouvoir, hélas ! trouver Science et Santé. J'étais découragée. Il me fallait ce livre à tout prix ! J'ai visité encore trois ou quatre librairies du quartier, espérant y trouver un livre de Mary Baker Eddy, mais en vain.
Quelques mois plus tard, alors que je me préparais à prendre l'avion pour me rendre aux États-Unis à l'occasion de la fête de Thanksgiving, j'ai profité d'un temps de battement à l'aéroport pour me rendre à la librairie. Une fois de plus, je me suis dirigée vers la section « religion ». L'un des livres en rayon m'a semblé familier. J'ai reconnu aux couleurs de la couverture que c'était le livre dont parlait la publicité que je gardais sur moi. Certaine qu'il s'agissait de Science et Santé, j'ai pensé: « Il me faut absolument ce livre ! » Je l'ai donc acheté et j'ai commencé à le lire durant le vol. J'ai souligné les passages qui me demeuraient obscurs, en me disant que je les relirais par la suite. Le premier chapitre sur la prière était magnifique. C'est bien que le livre commence par ce chapitre puissant, car il donne ainsi le ton à tous les autres chapitres.
J'ai lu dans ce chapitre que « Le désir, c'est la prière » (Science et Santé, p. 1), et cela s'est gravé en moi. J'avais grandi dans une famille qui avait une conception différente de la prière. C'est pourquoi cette idée que « Le désir, c'est la prière », ne m'était pas du tout familière, mais elle me parlait énormément. Cela a été comme un déclic. J'ai perçu quelque chose d'essentiel. Dès lors ma façon de prier a changé. Peu après, je me suis rendu compte que, depuis que j'avais changé ma façon de prier, ma vie changeait de façon spectaculaire.
Avant de connaître Science et Santé, j'étais une personne inquiète. Je me faisais du souci pour le travail, pour l'argent, pour tout ! Je n'avais aucune peine à trouver des sujets d'inquiétude. Mais grâce à la lecture de Science et Santé, tout cela a changé radicalement.
La lecture de Science et Santé m'a également valu des guérisons. En 1999, j'ai eu un accident de voiture, alors que j'étais avec une amie. Lorsque je suis sortie de la voiture, je me suis aperçue que je n'entendais plus de l'oreille gauche. Je suis entrée dans un restaurant tout proche, et là quelqu'un m'a demandé: « Voulezvous qu'on appelle un médecin ? Avez-vous besoin d'aide ? » J'ai juste répondu par la négative, persuadée que ce n'était pas de cela que j'avais besoin.
Lorsque je suis rentrée chez moi, ce soir-là, je n'entendais toujours rien de l'oreille gauche. Je me suis donc mise à lire Science et Santé en pensant que les choses allaient forcément s'améliorer.
En me réveillant le lendemain matin, j'ai eu la certitude que ce problème n'était pas destiné à durer et que Dieu allait s'occuper de moi. J'ai médité les idées que j'ai trouvées dans Science et Santé au cours de la journée, et, le soir même, je ne pensais plus du tout à ce problème de surdité. Le lendemain j'étais guérie. J'attribue cette guérison à la lecture de Science et Santé.
Londres, Angleterre
En lisant ce magazine, vous remarquerez que les mots « Science Chrétienne », y compris dans le titre du Héraut, apparaissent désormais en anglais. Christian Science est le nom que Mary Baker Eddy a donné à sa découverte. Dans Science et Santé avec la Clef des Écritures, elle écrit: « En l'an 1866, je découvris la Science du Christ ou lois divines de la Vie, de la Vérité et de l'Amour, et je nommai ma découverte Christian Science. » (p. 107) Toutes les traductions de Science et Santé ont gardé les mots « Christian Science » en anglais dans ce passage. En accord avec cet usage, le Conseil des Directeurs de la Christian Science étend donc l'utilisation des mots anglais à chaque texte qui paraîtra dorénavant, ce qui permettra ainsi aux termes « Christian Science » d'être reconnus universellement tels que Mary Baker Eddy les a introduits à l'origine.