On pourrait comparer la guérison chrétienne, illustrée par les œuvres de Jésus-Christ et pratiquée dans la Christian Science, à une sorte de participation à la perfection, la perfection spirituelle.
Lorsque les gens venaient vers Jésus pour être guéris, il arrivait souvent à celui-ci de leur demander quelque chose. Par exemple, il dit à un aveugle: « Va, et lave-toi au réservoir de Siloé. » (Jean 9:7) A un autre, qui était malade depuis trente-huit ans: « Lève-toi, prends ton lit, et marche. » (Jean 5:8) Et à un homme qui avait la main desséchée: « Étends ta main. » (Matth. 12:13) Rien n'indique dans ces récits bibliques que l'un de ces hommes ait cherché à expliquer qu'il lui était impossible de faire ce qui lui était demandé. Au contraire, ils ouvrirent tous leur pensée à la possibilité de la guérison et obéirent. Nous pourrions dire qu'ils participèrent à leur guérison.
Nous aussi sommes à même de participer à la guérison par la prière. La prière libère la pensée des limites humaines en lui faisant prendre conscience des possibilités infinies. Nous prions quand la pensée s'appuie sur Dieu, s'en remet à Sa présence. La Bible affirme: « A celui qui est ferme dans ses sentiments tu assures la paix, la paix, parce qu'il se confie en toi [Dieu]. » (Ésaïe 26:3)
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