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NE PAS AVOIR PEUR DES MATHS

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1998

Christian Science Monitor


Les mathématiques, pour moi, c'était un cauchemar. Quoi que je fasse pour essayer de comprendre, je n'y arrivais pas. Mes professeurs perdaient patience parce qu'ils pensaient, à tort, que je ne me donnais pas assez de peine. C'était très décourageant !

Puis, après être entrée à l'université, j'ai trouvé la Christian Science qui aide à résoudre tout problème que l'on peut avoir. J'ai commencé à comprendre que Dieu aime chacun de nous, moi y compris; que le pouvoir de Dieu élimine de notre vie quoi que ce soit qui nous limite — même la peur des maths ou de tout autre sujet.

C'est alors que j'ai commencé à me voir différemment. Au lieu de m'accrocher à l'idée que parce que j'avais été une fois mauvaise en maths, je le resterais toujours, j'ai vu que je pouvais espérer faire des progrès avec l'aide de Dieu. C'était là une idée révolutionnaire. Et cela donna une nouvelle signification à quelque chose que Jésus avait dit et que je connaissais déjà: « Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » Matth. 5:48.

Jusqu'alors, j'avais pensé que la perfection était quelque chose qui n'était atteint qu'en luttant, et que ce but était bien lointain. Science et Santé avec la Clef des Écritures, le livre d'étude de la Christian Science écrit par Mary Baker Eddy, présente une vue très différente de ce qu'est réellement la perfection. Il dit que vous et moi, tels que Dieu nous a créés, ne luttons pas pour acquérir la perfection; nous sommes déjà parfaits maintenant parce que Dieu est l'Esprit parfait et nous a créés spirituels. Et ceci n'est pas une abstraction — quelque chose à quoi l'on aime penser, mais pas très pratique. Être parfait c'est être complet et sans limites, notamment sans craintes qui se dressent comme des obstacles sur notre chemin vers le succès et le bonheur.

La raison pour laquelle nous ne voyons pas toujours la perfection est que nous ne comprenons pas toujours que nous sommes réellement spirituels et totalement aimés par Dieu, et que nous n'avons pas suffisamment confiance en ce fait. Mais Science et Santé m'a aidé à voir ce qu'est notre nature véritable. Cet énoncé tiré de ce livre explique ce qui est vrai au sujet de tous les hommes, femmes et enfants: « L'homme est idée, l'image, de l'Amour; il n'est pas physique. Il est l'idée composée de Dieu, incluant toutes les idées justes... » Science et Santé, p.475.

Et bien, je n'avais pas besoin d'être un savant concevant des fusées pour me rendre compte que les maths, caractérisées par l'ordre, la précision et l'intelligence, devaient être une « idée juste ». Et comme j'incluais « toutes les idées justes », la capacité de faire des maths sans crainte devait faire partie de la perfection qui était toujours mienne.

Savoir que Dieu est Amour m'a beaucoup aidée. Parfois, quand je passais des examens par exemple, je me tournais vers Dieu en prière et Lui demandais de me guider dans mon travail. Cette prière atténuait mes craintes et je réussissais à mieux résoudre les problèmes.

Le pouvoir de Dieu élimine de notre vie quoi que ce soit qui nous limite.

Dieu est aussi Principe. Cela signifie qu'Il est la source de toute loi véritable — l'ordre et la structure de l'univers. Cela m'aidait car cela signifiait que ma capacité croissante en maths et en algèbre n'était pas une question de chance simplement, mais le résultat de la compréhension de la loi de Dieu. Alors que je devenais davantage consciente que Dieu était présent avec moi dans tous les aspects de ma vie, et que j'avais davantage confiance dans Sa bonté, je gagnais en assurance.

Ce genre de raisonnement est utile à chacun, et pas seulement à ceux qui ont des difficultés avec les maths ou la grammaire. Il promet que chacun de nous peut exprimer n'importe quelle « idée juste » — un concept caractérisé par l'intelligence, l'utilité, la sagesse — quelles que soient nos limites et nos craintes actuelles.

Et ça marche ! Sans leçons particulières, mon aptitude à faire des mathématiques continuait de s'améliorer. En fait, je commençais à aimer les maths ! Puis je fus élue au poste de trésorière d'une organisation à laquelle j'appartenais, ce qui paraissait montrer que je faisais vraiment des progrès.

Un jour, alors que j'assistais à une réunion assez ennuyeuse, je me rendis compte que j'étais en train d'additionner des chiffres inscrits sur le tableau — simplement pour le plaisir ! Quel changement !

Et encore mieux, une fois, au bureau de poste, l'employée additionnait sur une machine le montant que je devais payer. Or avant qu'elle eut terminé, je lui annonçai: « Ce sera 7,50 dollars. » Une seconde plus tard la machine confirmait mes calculs. L'employée me regarda et me dit en souriant « Merci ! » Je tournais alors mes pensées vers Dieu et je dis silencieusement « Merci, mon Dieu ! »

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