Autrefois,
me croyant représenter
une toute petite minorité,
je m’efforçais d’aimer Dieu de tout mon cœur,
de toute mon âme
et de toute ma pensée,
et mon prochain comme moi-même —
tout en luttant vaillamment
contre d’incroyables
et presque insurmontables
difficultés ;
jusqu’à ce que I’Amour divin, de sa douceur
inflige, à ces pensées sans consistance,
de tendres reproches:
« Si tu aimes Dieu comme tu le prétends,
comment peux-tu croire qu’Il ait produit une idée Lui soit opposée ?
Et si tu aimes vraiment ton prochain
comme toi-même,
comment peux-tu percevoir un adversaire ? »
Châtiée,
rendue humble,
j’ai rejoint de bon cœur la majorité:
— tous,
dans I’Entendement, sous le gouvernement
de Dieu.
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