Il Y A Sept ans, nous avons remarqué une grosseur sur le genou de notre fille cadette, qui était alors âgée de trois ans. C’était une enfant pleine de vitalité qui se plaignait rarement, mais cette grosseur restreignait son activité physique et elle nous parlait de la gêne et du désagrément que lui causait cette difficulté. J’étais très inquiète.
Dans notre famille, c’est toujours au traitement par la Science Chrétienne que nous avions fait appel pour trouver la guérison. Motivés par l’amour que nous portions à notre fille et par le désir de la débarrasser complètement de cette difficulté, nous avons choisi, mon mari et moi, de prier du fond du cœur pour obtenir une guérison totale. Nous avons prié pour voir plus clairement que, en réalité, notre fille n’était pas un être mortel sujet à l’incapacité, à la déformation et à la maladie puisque l’identité naturelle de l’homme, c’est d’être le reflet spirituel de Dieu.
Au cours de mes prières et de mon étude de la Bible, mon attention a été attirée par un certain nombre de passages qui comportaient le verbe demeurer. Je me suis attachée à considérer notre fille comme demeurant véritablement en Dieu. J’ai compris qu’en réalité, notre fille ne pouvait jamais s’éloigner de la présence divine ni perdre sa nature spirituelle parfaite. Je savais que son vrai Père-Mère Dieu la gardait éternellement en sécurité.
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