A une époque où je me trouvais dans un besoin urgent de surmonter une difficulté pernicieuse et tenace, ces paroles de Mary Baker Eddy me revenaient constamment à l’esprit: « Une guérison qui n’est pas conjecturale. » On les trouve dans un article intitulé « Le chemin » dans Écrits divers. Voici la phrase entière: « Moins enseigner et bien guérir, c’est aujourd’hui l’apogée du “c’est bien”, une guérison qui n’est pas conjecturale — un long rétablissement avec des hauts et des bas — mais la guérison instantanée. » Écrits divers, p. 355.
C’était exactement ce que je cherchais. Les « hauts » et les « bas » décrivaient bien l’état de mes progrès. Il y avait de bons jours où je me sentais tout à fait libérée, et puis les symptômes décourageants reparaissaient. Comment m’élever au-dessus des conjectures et trouver la certitude de la guérison par la Science Chrétienne ?
Depuis des années, je considérais cette Science comme la seule méthode de guérison à laquelle je voulais faire confiance. Lorsque j’étais devenue membre de L’Église Mère, je m’étais donnée à l’idée d’avoir recours à la guérison spirituelle en toute situation. Je devais donc être honnête avec moi-même et me consacrer totalement à pratiquer ce que je comprenais et ce que je savais être vrai au sujet de Dieu et de l’homme qu’Il avait créé.
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