Il y a plusieurs années, je suis allée habiter une ville du sud-ouest des États-Unis. A mon arrivée, j’étais malade, je souffrais et j’avais très peur. Ma santé déclinait depuis plusieurs années et j’étais constamment en traitement médical. Mes problèmes physiques, qui étaient nombreux, comprenaient une maladie de cœur, de l’épilepsie, du diabète, une dégénérescence de la hanche et un raccourcissement de la jambe. On avait fini par me dire que la médecine ne pouvait plus rien faire pour moi.
J’avais été élevée dans la Science ChrétienneChristian Science (’kristienn ’saïennce), mais je m’en étais éloignée par la suite. Je savais maintenant que j’avais un choix à faire. Je savais que je n’avais plus aucune foi dans les moyens médicaux. Je refusai donc tout traitement supplémentaire, jetai tous les médicaments et pris le chemin de la salle de lecture de la Science Chrétienne de l’endroit.
La bibliothécaire, pleine de bonté, appela une praticienne de la Science Chrétienne, car j’étais incapable de le faire moi-même. La praticienne accepta de prier pour moi et me demanda de venir la voir à son bureau. Nous nous sommes entretenues pendant plus d’une heure, évoquant les vérités spirituelles que j’avais apprises à l’école du dimanche de la Science Chrétienne et parlant de la bonté de Dieu. Elle me rappela que l’homme réel est spirituel, créé à la ressemblance même de Dieu. Me sentant rassurée, je repartis pour la salle de lecture, où j’étudiai la Bible et les œuvres de Mary Baker Eddy jusqu’à l’heure de fermeture. De retour à mon appartement, j’étudiai encore la Science Chrétienne.
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