Une amie m’avait posé quelques questions sur la Science Chrétienne. Je lui avais donc prêté un exemplaire du livre d’étude de cette religion, Science et Santé de Mary Baker Eddy. En me le rendant, mon amie m’avait dit: « C’est certainement très bien pour vous et vos amis à l’église, qui le comprenez, mais cela exige trop d’efforts. Si j’ai mal à la tête, c’est beaucoup plus facile de prendre un cachet d’aspirine. »
Cet incident m’a amenée à réfléchir davantage sur le but de la Science Chrétienne et sur ce qui pousse une personne à en poursuivre l’étude, même quand il semblerait plus facile de prendre des remèdes matériels.
La Science Chrétienne m’a été présentée par mes parents, qui ont commencé à s’y intéresser par l’intermédiaire d’un associé d’affaires. Mon père, qui souffrait depuis longtemps de maux d’estomac, avait essayé, en vain, de nombreux remèdes. Il a alors commencé à étudier la Science Chrétienne et il a été entièrement guéri par la prière. A la suite de cela, j’ai fréquenté une filiale de l’Église du Christ, Scientiste — de temps en temps d’abord, tout en prenant des pilues et des médicaments pour me soulager de petits maux. En outre, j’étais timide et beaucoup de choses m’effrayaient. Mais je me souviens très clairement avoir ressenti, à un moment, le désir irrésistible d’autre chose.
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