C'est au lycée que j'ai eu mon premier contact avec la Science Chrétienne. Un professeur d'histoire, pour qui j'avais le plus grand respect, était abonné au Christian Science Monitor et nous avait recommandé d'en consulter les reportages, d'un profond intérêt, sur les différentes parties du monde. C'est ainsi que je fis connaissance avec la Science Chrétienne.
A l'université, je m'étais liée d'amitié avec une étudiante qui était Scientiste Chrétienne. Elle possédait un calme remarquable, et pourtant, elle était toujours pleine d'entrain, et jamais malade. Plus tard, alors que je souffrais d'une grave infection, je l'appelai pour lui compter mes malheurs: « Les docteurs, lui dis-je, m'ont conseillé d'apprendre à vivre en bons termes avec cette maladie. » Sa réponse me surprit: « Si tu en as assez et que tu désires t'en débarrasser, viens me voir. » Je ne savais pas alors prier scientifiquement pour moi-même, mais sa certitude que je pouvais me débarrasser du problème m'ouvrit des perspectives nouvelles. Je décidai de jeter les médicaments et bientôt l'infection disparut complètement. Claire et silencieuse, l'affirmation par mon amie que Dieu et Son enfant sont toujours parfaits m'avait guérie sur-le-champ.
Lorsque j'attendais mon deuxième enfant, je me mis à étudier sérieusement la Science Chrétienne. Je désirais comprendre ce que mon amie savait. Il s'ensuivit que la naissance de notre fils s'effectua sans l'aide d'aucun médicament et dans une joie totale. D'autres guérisons se produisirent encore: des guérisons de maux d'oreilles, de grippe, de fièvre et d'une maladie de la peau qui n'avait pas été diagnostiquée, ainsi qu'une amélioration progressive de mon caractère, tout cela parce que j'apprenais à connaître Dieu toujours davantage.
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