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We Knew Mary Baker Eddy

La deuxième partie de cet article de Julia S. Bartlett
paraîtra le mois prochain

Un travailleur du Massachusetts Metaphysical College

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1986


Nous étions six enfants, orphelins de père et de mère. Lorsque nos parents quittèrent ce monde, j’étais l’aînée, âgée de seize ans, alors que la plus jeune n’en avait que trois, une petite fille délicate qui avait, ainsi que tous les autres d’ailleurs, grand besoin des soins et de l’amour d’une mère.

Je ne voudrais pas m’attarder sur les quelques années de ma jeunesse qui suivirent ni sur le changement brutal qui nous amena à être traités froidement et sans pitié après avoir connu l’amour de parents affectueux. Nous étions en mesure de rétribuer tous les services qui nous étaient rendus, mais cela ne semblait pas changer grand-chose. On pouvait lire sur les tristes petits visages les épreuves endurées et, alors que mon cœur saignait pour ces chers petits plus que pour moi-même, je ne pouvais rien faire pour les leur épargner.

Cette période de ma vie ne fut pas sans porter ses fruits et je suis très reconnaissante d’avoir pu, à un certain moment, pardonner et oublier toutes les tribulations du passé et aimer sincèrement ceux qui en furent l’instrument; ils me rendirent alors cet amour en débordante mesure. Qui peut savoir si cette expérience même n’était pas nécessaire pour me faire apprendre cette grande leçon?

Ces rudes épreuves du début de ma vie servirent à orienter ma pensée davantage vers les choses spirituelles et, alors que j’étais comme un enfant avançant à tâtons dans les ténèbres, il y avait toujours une lueur qui éclairait mon chemin, me soutenait, me consolait et m’encourageait. Je sentais que Dieu prenait soin de moi par des voies que je ne connaissais pas, et quand le chemin semblait dur, c’était la volonté de Dieu et pour mon bien. Oh, comme j’ignorais alors ce qu’est Dieu, et que ce n’est pas Sa volonté qu’aucun de nous subisse la souffrance! Ce que je connus pendant que j’allais encore à l’école a sans doute servi à me former et à me fortifier le caractère, tout en me rendant plus réfléchie et plus sérieuse dans tous les domaines.

J’aimais parfois me rendre, avec ma meilleure amie d’école, en quelque endroit pittoresque où nous étions seules et où nous avions coutume de nous entretenir de choses spirituelles et de nous demander ce qu’est la vérité et ce qu’elle n’est pas, nous réjouissant toujours à l’idée d’un bonheur futur pour le monde, sans savoir que c’était une possibilité présente.

Je m’aperçus que d’être convertie selon ma religion protestante ne m’apportait aucune paix ni aucun bonheur permanents, que rien n’était changé en moi et que je me retrouvais avec les mêmes défauts et les mêmes faiblesses. Je n’avais pas appris qu’il me fallait travailler à mon propre salut comme l’ordonnent les Écritures et comme notre grand Maître nous en avait montré la voie, une voie qu’il fallait comprendre et non simplement croire.

Au fur et à mesure que le temps passait, après les années d’école, ma pensée continuait à s’ouvrir à la vérité suffisamment pour me permettre d’abandonner certains de mes anciens points de vue théologiques; lorsque mes amis m’interrogeaient sur mes croyances, je leur disais que je pensais n’en avoir aucune. Je sentais qu’il existait une vérité au-delà de ce que je savais ou de ce que j’avais pu découvrir, et alors que grandissait en moi le profond désir de l’atteindre, je m’efforçais de plus en plus de la trouver. Bien des fois dans la journée, la question se posait: « Qu’est-ce que la Vérité? » jusqu’au moment où je n’eus plus à l’esprit que cette grande et unique question à laquelle j’étais incapable de répondre. Je pensais alors ceci: « Il me reste à vivre et à faire du mieux que je peux, et à avoir confiance », mais cela ne me satisfaisait pas. Il me fallait voir où j’allais, pouvoir m’accrocher à quelque chose et m’y appuyer. Pendant que cette évolution s’opérait dans mon esprit, aucune tristesse ne m’assombrissait, j’étais au contraire joyeuse et pleine d’espoir.

A cette période de ma vie, je tombai gravement malade; à plusieurs reprises, les docteurs désespérèrent de pouvoir me sauver et mes amis furent invités à venir me rendre une dernière visite. Pour le sens humain, cette maladie provoquait une grande souffrance et lorsque je la vis se prolonger des mois et des années, je décidai de faire de mon mieux, étant donné les circonstances auxquelles j’étais soumise, pour que ces années de ma vie puissent être profitables et ne constituent pas un fardeau inutile pour les autres.

Coupée complètement du monde pendant cinq ans, couchée et réduite à l’impuissance, affaiblie par la souffrance, il m’était encore possible d’être patiente et joyeuse au lieu d’être une malade gémissante. Je me fis un devoir de m’abstenir de parler maladie ou de faire triste mine, et d’avoir au contraire un sourire pour chacun. Les médecins dirent qu’il leur arrivait rarement de voir un malade supporter la souffrance avec tant de force d’âme et que ma chambre était la plus gaie qu’il leur fût donné de visiter. C’était le précieux amour de Dieu qui me soutenait et me préparait à recevoir la vérité qui devait bientôt se montrer, bien que je ne le sache pas encore. A deux reprises, je fus transportée, dans mon lit, vers différentes villes pour y être traitée par d’autres médecins. Ils témoignèrent tous d’un profond intérêt et se montrèrent d’une grande bonté; leurs efforts me touchèrent, mais les remèdes matériels ne pouvaient me guérir.

Au bout de sept ans se produisit une amélioration, mais on ne me laissait aucun espoir de me rétablir complètement et les remèdes utilisés demeuraient sans effet. Je dis alors à mes amis que j’attendais de trouver quelque chose qui me guérirait en dehors des remèdes matériels; c’est à ce moment-là que je reçus d’une amie une lettre qui faisait mention de la Science Chrétienne, dont je n’avais jamais entendu parler. C’était en avril 1880, et la Science n’était pas alors très connue. Jointe à la lettre se trouvait une feuille annonçant l’existence de la première Église de la Science Chrétienne, qui avait débuté avec vingt-six membres et dont la charte avait été obtenue l’année précédente en août 1879. En lisant l’annonce qui décrivait « une Église destinée à perpétuer les enseignements de Jésus, à rétablir le christianisme primitif et à faire revivre son élément perdu, la guérison », mon intérêt s’éveilla, et comme la lettre affirmait que cette guérison s’effectuait par l’Entendement, je dis que je ne voyais aucune raison qui empêchât les malades d’être guéris de cette façon-là.

Je demandai à cette amie de me recommander un praticien et je fis venir en même temps le livre Science et Santé. Mon amie demanda conseil à Mary Baker Eddy, et elle me confia aux soins du mari de celle-ci, M. Asa G. Eddy. Mon état commença à s’améliorer immédiatement et ma libération s’effectuait. Il me semblait que je sortais de prison. Les liens constitués par les croyances et les lois matérielles cédaient devant la loi supérieure de l’Esprit et, en conséquence, les souffrances disparaissaient. Il me serait impossible de décrire le sentiment de liberté qu’un simple aperçu de cette vérité glorieuse m’apporta. Le monde n’était plus le même pour moi. Je voyais toutes choses d’un point de vue différent et tout était auréolé de beauté.

Je n’avais jamais vu de Scientiste Chrétien, mais mon plus cher désir était de rencontrer et de connaître celle par qui ce bien immense avait été dispensé au monde et de recevoir d’elle l’enseignement de la vérité afin de pouvoir aider les autres. Cela se produisit en temps voulu. Quatre mois environ après avoir entendu, pour la première fois, parler de la Science Chrétienne, je voulus suivre le cours de Mary Baker Eddy; je fis ma demande et je fus acceptée.

Elle me donna rendez-vous chez elle à Lynn et, à mon arrivée, je fus reçue par son mari, M. Eddy. Il me fit savoir que Mary Baker Eddy était alors occupée mais ne tarderait pas à me recevoir. Elle entra presque aussitôt, cependant; une partie de ses cheveux, qu’elle était en train de coiffer, tombait sur ses épaules. Elle dit qu’elle ne voulait pas me faire attendre. Je sentais son amour, qui la rendait toujours prévenante, et je n’éprouvais aucune gêne en sa présence. Elle était belle, mais un peu plus mince à cette époque-là que plus tard. Elle prit avec moi des dispositions en vue du cours et, comme je savais qu’elle avait beaucoup à faire, je fis en sorte de ne pas m’attarder.

Je crois que je fus particulièrement frappée, lors de cette première rencontre, par sa spiritualité et la position qu’elle occupait dans le monde; pourtant, elle s’était mise à mon niveau, avec beaucoup de simplicité et de douceur, ne négligeant rien pour me mettre à l’aise. Alors que je me retirais, je pensais au moment où je pourrais venir dans cette petite maison écouter ses enseignements merveilleux. Cette maison de Lynn, bien qu’arrangée très simplement, était d’une propreté immaculée. M. et Mme Eddy n’avaient pas de domestique à ce moment-là, mais M. Eddy faisait beaucoup pour la Cause en accomplissant de nombreuses tâches qui auraient pris du temps à Mary Baker Eddy et il faisait aussi du travail à l’extérieur. Il ne cessa d’être le mari et l’ami si bon, toujours prêt à aider en tout ce qui concernait la Cause de la Science Chrétienne et notre bien-aimé Leader.

Mon premier cours avec Mary Baker Eddy débuta le 30 septembre 1880. Nous n’étions que trois élèves. Il y avait peu de monde à ses cours à cette époque-là, mais elle éprouvait beaucoup de joie, nous dit-elle, à faire le cours à notre petit groupe. Ses enseignements étaient une révélation merveilleurse de la Vérité à ses élèves. Il me semble la voir encore, assise devant nous, tout son être illuminé d’une expression céleste, spirituelle, alors qu’elle exposait la vérité contenue dans son livre, Science et Santé.

Quand le cours se termina, je m’attardai un peu, de même que l’amie qui m’avait fait connaître la Science Chrétienne et qui faisait aussi partie de cette classe, nous trouvant assises à côté de notre cher professeur tandis qu’elle nous parlait de la haine de l’entendement mortel pour la Vérité et du mal qu’il fallait surmonter. Elle nous raconta comment une certaine personne était venue un jour jusqu’à sa porte, armée et avec de mauvaises intentions à son égard, mais avait été incapable de perpétrer sa mauvaise action. Nous percevions un peu ce que cela signifiait pour elle de tenir cette position de messagère de la Vérité face à un monde d’erreur, ce que cela représentait de peine et de gloire; et elle fut amusée et réconfortée de nous entendre dire, sur le ton enjoué des enfants: « On ne vous touchera pas; nous, nous vous aiderons. » La plus grande joie que je ressente à cette heure, c’est d’avoir peut-être contribué à alléger quelque peu son fardeau pendant les années qui suivirent.

C’est à cette époque que j’assistai à mon premier service du dimanche de la Science Chrétienne, qui avait lieu dans le petit salon de la maison de Lynn, au numéro 8 de Broad Street. Vingt personnes environ étaient présentes. Mary Baker Eddy prononça un sermon qui guérit, à côté de moi, une jeune femme atteinte depuis longtemps d’une maladie chronique qui bafouait les médecins. Le lendemain, son mari, qui était avec elle au service, alla remercier Mary Baker Eddy pour la guérison de sa femme. Je n’avais jamais entendu un sermon aussi magnifique, mais peu furent ceux qui le reçurent.

Après le cours, Mary Baker Eddy me conseilla de retourner chez moi, dans le Connecticut, pour commencer à pratiquer la guérison et c’est ce que je fis. Pendant cette période, je me rendais souvent à Lynn pour assister aux réunions de l’association et, bien que simple débutante, aider, dans la mesure de mes possibilités, notre cher professeur dans son travail pour la Cause.

Au début de 1881, elle m’appela à Boston pour que j’y établisse mon travail. Je fis la connaissance de Mme Abbie K. Whiting, qui avait suivi le cours de Mary Baker Eddy peu de temps auparavant, et il nous vint à l’esprit qu’il serait bon de travailler ensemble au début; nous nous mîmes en quête de locaux à cet effet, nous doutant peu de l’opposition que nous devions rencontrer. Tout d’abord, il ne nous fut pas difficile de trouver les locaux que nous désirions, dans un quartier convenable, et les gens nous reçurent à bras ouverts, mais lorqu’ils apprirent que nous étions Scientistes Chrétiennes, il s’éleva des objections à notre installation. On ne connaissait rien de la Science Chrétienne et la suspicion régnait. Lorsqu’on nous refusait dans une maison, nous en essayions une autre, et des jours s’écoulèrent ainsi, à espérer trouver un local à Boston pour faire notre travail, et personne n’acceptait de nous recevoir.

Nous nous rendîmes alors à Charlestown, où finalement une maison attira notre attention; une dame nous y reçut avec bienveillance et nous procura tout ce dont nous avions besoin pour continuer notre travail, y compris l’usage du salon tous les vendredis soirs, pour y inviter les gens à venir écouter les causeries que nous donnerions afin d’expliquer la Science Chrétienne, ce qu’elle est, et ce qu’elle ferait pour eux. Cette dame promit de nous aider en donnant le mot à ses amis, et elle le fit; de notre côté, rien ne fut négligé pour atteindre les gens, mais malgré tous nos efforts, il ne vint personne. Je dis alors: « S’ils ne viennent pas à moi, j’irai à eux », et cette chère Mme Whiting était prête à se joindre à moi.

Nous nous procurâmes un nombre important d’exemplaires de la brochure intitulée La guérison chrétienne, brochure qui, à l’époque, constituait la seule publication sur la Science Chrétienne autre que Science et Santé. Munies de ces brochures, nous nous mîmes en route pour accomplir notre mission, choisissant une des plus belles rues et faisant du porte à porte, elle d’un côté et moi de l’autre. C’était une démarche hardie pour quelqu’un de timide et réservé, et nécessitant bien des combats intérieurs. Mais cela fut oublié lors des rencontres avec les maîtresses de maison qui, à chaque fois, montrèrent beaucoup d’intérêt pour ce que j’avais à dire sur la Science Chrétienne et exprimèrent le désir de nous rencontrer pour en apprendre davantage; en attendant, une brochure fut laissée à la disposition de chaque famille.

Nous savions que le bien avait été accompli et nous en avions de la joie, mais personne ne vint nous trouver à la suite de cette démarche. Mon amie décida alors de retourner un peu chez elle pendant que j’étudiais pour savoir que faire ensuite. Je commençai par dire: « Devant moi se trouve un monde qui a besoin de la vérité. Si je ne parviens pas à obtenir du travail à faire, ce sera de ma faute, et si j’échoue à mon premier essai, je continuerai jusqu’à ce que je réussisse. » J’allais être mise à l’épreuve, mais je savais que si je faisais bien mon travail et que si Dieu était avec moi, il ne pouvait y avoir d’échec.

Pour attirer l’attention sur la Science Chrétienne, l’idée suivante consista à faire un panneau qui fut posé à l’entrée et portait ces mots peints avec soin en lettres dorées:

Tous les vendredis à 19 h 30
se tiennent ici des réunions
dans le but d’expliquer la Science Chrétienne.
Cordialement ouvert à tous.

Ce panneau attira l’attention de nombreux passants qui s’arrêtèrent pour le lire en paraissant se demander de quoi il s’agissait. Cela eut pour résultat d’amener, le vendredi suivant, huit personnes qui s’avouaient simplement là par curiosité, mais s’affirmèrent intéressées par ce qui fut dit et promirent de revenir en amenant leurs amis.

Probablement personne à Boston ce soir-là n’était plus heureux que mon amie et moi, à la manifestation de ce premier signe d’intérêt. Il nous avait fallu beaucoup de courage et bien des abnégations avant de récolter les fruits de notre labeur, mais la récompense vint en abondance jusqu’à ce qu’il n’y eût plus assez de place pour faire entrer les gens qui voulaient entendre parler de la Science Chrétienne et être guéris.

En octobre 1881, huit élèves qui avaient permis à l’erreur de pénétrer leur pensée s’étaient réunis pour écrire et signer une lettre perfide contenant de fausses accusations, à l’adresse de leur Leader. Cette lettre cruelle fut lue à une assemblée de l’Association des Scientistes Chrétiens, en présence de Mary Baker Eddy. Elle ne fit aucune réponse, et lorsque l’assemblée, qui se tenait dans sa maison, se termina, elle se retira dans sa chambre et tous les élèves retournèrent chez eux à l’exception de deux d’entre eux. Ces deux élèves [ainsi que M. Eddy] demeurèrent avec leur professeur bien-aimé pour la consoler dans sa tristesse et sa douleur.

J’étais à Salem à ce moment-là et je n’avais pu assister à l’assemblée; le lendemain matin, ayant eu connaissance de ce qui s’était passé, je pris le premier train pour Lynn, désirant être avec mon cher professeur et pouvoir un peu l’aider dans son heure d’épreuve. Ce fut M. Eddy qui m’ouvrit la porte. Je trouvai Mary Baker Eddy assise près de la table, ainsi que les deux élèves qui avaient passé la nuit avec elle. Sans rien dire, je pris aussi un siège, ainsi que M. Eddy, et j’écoutai Mary Baker Eddy qui parlait avec, dans la voix, une autorité que je n’avais jamais connue auparavant.

Juste avant mon arrivée, elle était à la table avec les autres, encore terrassée par le fardeau, lorsque tout à coup, elle avait quitté sa chaise, fait quelques pas rapides dans la pièce, le visage radieux et le regard lointain comme si elle contemplait des choses que l’œil ne voyait point. Elle s’était mise à parler, dans une langue qui rappelait un peu le style des Écritures. Les trois personnes qui étaient avec elle, voyant se qui se passait, avaient saisi de quoi écrire et pris note de ce qu’elle disait. Quand elle eut fini de parler et repris conscience de ceux qui l’entouraient, ils étaient tous si émus par ce qu’ils avaient vu et entendu que leurs yeux s’étaient emplis de larmes, et l’un d’eux était à genoux, en sanglots, près du divan.

Ce fut au moment où Mary Baker Eddy se rasseyait et se mettait à leur parler, que je fis mon entrée. Quand elle eut terminé, elle dit ceci: « Je veux que, tous les trois, vous restiez avec moi pendant trois jours. » Elle ajouta qu’elle ignorait ce qui pouvait se passer, mais elle sentait que cela nous apporterait beaucoup.

Ces trois jours furent merveilleux. C’était comme si Dieu lui parlait et qu’elle vienne nous dire les révélations merveilleuses qu’elle recevait. Nous étions sur la montagne. Nous avions le sentiment qu’il nous fallait ôter nos chaussures, que nous nous tenions sur une terre sainte. Ce que je reçus à ce moment-là ne me quittera jamais.

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