Lorsque j’étais au lycée, la chorale à laquelle j’appartenais fut invitée en Roumanie et dans d’autres pays d’Europe de l’Est pour une tournée de rencontres amicales. Pendant le voyage, de nombreuses difficultés se présentèrent: des problèmes de transport, des différends avec ma camarade de chambre et d’autres choses. Mais au lieu de guérir ces ennuis par la prière, je me retrouvai simplement « entraînée par le courant populaire de la pensée mortelle ». (Ces mots viennent d’une phrase de Mary Baker Eddy dans Écrits divers [p. 228]: « Entraînés par le courant populaire de la pensée mortelle, sans mettre en question la véracité de ses conclusions, nous faisons ce que les autres font, croyons ce que les autres croient et disons ce que les autres disent. »)
Vers la fin de notre tournée, je tombai malade. Nous devions partir ce jour-là en Tchécoslovaquie, et comme je ne voulais pas qu’on parte sans moi, je me tournai vers Dieu et priai de tout mon cœur. Je me sentis tellement mieux que je fus capable de prendre l’avion avec la chorale.
Toutefois, à l’arrivée en Tchécoslovaquie, les douaniers s’aperçurent que plusieurs d’entre nous étaient malades. (On nous a dit plus tard que c’était une grippe intestinale.) Comme les douaniers ne pouvaient pas donner un diagnostic à ce moment-là et qu’ils craignaient qu’il ne s’agisse d’une maladie contagieuse, ils nous retinrent. Pendant que nous attendions, je lus un exemplaire du Christian Science Journal que j’avais avec moi et je commençai à ressentir de l’inspiration et du courage en lisant les articles et les témoignages de guérison.
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