Recherchant la santé, nous demandons souvent: « Faut-il encore, mon Dieu, que j’attende longtemps? » Mais avec quelle ferveur recherchons-nous la grâce? Notre bonne volonté de laisser Dieu accomplir Son œuvre merveilleuse en nous tous est directement fonction du degré de docilité de notre cœur. Aucun d’entre nous n’est humainement parfait et, à certains égards, nous sommes loin d’atteindre à la justice de Dieu. Nous pourrions donc peut-être nous poser les questions suivantes:
• Dans quelle mesure nos pensées et notre caractère ont-ils avancé vers l’Esprit durant les dernières vingt-quatre heures; ou bien avons-nous seulement déplacé notre corps?
• Nous sommes-nous agenouillés au pied de la croix et avons-nous prié avec ferveur pour que nos défauts soient rachetés?
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