J’écris ce témoignage pour rendre gloire à Dieu, « pour ses merveilles en faveur des fils de l’homme ! » (Ps. 107:21). Dans les dix années qui ont suivi mon précédent témoignage de guérison, paru dans The Christian Science Journal, notre famille a eu de nombreuses preuves de la présence de Dieu qui sauve; ces preuves comprennent les guérisons d’un bras cassé, d’un pied écrasé et d’une hernie.
Notre plus jeune fils se fit une fracture au bras lors d’un match de football américain à l’école. Les autorités scolaires n’ayant pu nous contacter, ni mon mari ni moi-même, notre fils fut emmené à l’hôpital où la fracture fut réduite et le bras placé dans un plâtre.
Dès cet instant, nous avons travaillé étroitement avec une praticienne de la Science Chrétienne, et en quelques jours notre fils a senti que la guérison s’accomplissait. Il était heureux de voir la Vérité démontrée dans sa propre vie et de prouver que rien n’était réellement arrivé à l’enfant de Dieu. Ce verset de la Bible prit un sens tout à fait spécial pour nous à ce moment-là: « Il garde tous ses os, aucun d’eux n’est brisé » (Ps. 34:21). Le plâtre fut enlevé et notre fils put se servir de son bras normalement. Il n’y a eu aucune suite fâcheuse.
En une autre occasion, trois grosses plaques de béton sont tombées sur le pied de notre fils aîné. Étant donné leur taille et leur poids, il a fallu deux ouvriers pour soulever chaque plaque. Le pied apparut effroyablement écrasé et il était évident qu’il y avait des fractures. Cependant, nous avons soutenu la décision de notre fils de n’utiliser aucun moyen matériel pour réduire les fractures — nous nous en remettrions complètement à Dieu pour la guérison. Notre fils continua d’aller à l’école avec l’aide d’une béquille et ne manqua la classe qu’un seul jour par suite de cet accident. Une déclaration que j’avais entendue dans un programme de radio sur la Science Chrétienne à ce moment-là m’avait particulièrement aidée. Le point développé rendait clair le fait que l’identité véritable de l’homme, qui est spirituelle, n’est touchée à aucun moment par l’image matérielle. Et lorsque nous devenons conscients de ce fait, il devient apparent dans notre vie. Avec l’aide d’une praticienne, la guérison fut bientôt complète et notre fils put se joindre à un groupe de scouts pour faire une excursion à la campagne à la fin de la semaine suivante.
Un jour, quand ce même fils dut passer un examen médical à l’école, nous avons reçu une lettre disant que la hernie qu’il avait nécessitait une opération immédiate. Nous étions au courant de ce problème depuis quelque temps déjà, mais nos propres prières n’avaient pas apporté la guérison. Nous avons immédiatement demandé l’aide d’une praticienne et toute évidence de hernie a disparu rapidement.
Plus tard, à un examen médical de fin d’année scolaire subi par notre fils, le médecin le questionna au sujet de l’opération de cette hernie. Notre fils répondit qu’elle avait été guérie par la Science Chrétienne, de sorte qu’une opération chirurgicale n’avait pas été nécessaire. Cette explication a été entendue par d’autres garçons qui étaient présents, et cela a suscité un vif intérêt à l’égard de la Science Chrétienne.
Je suis reconnaissante pour la protection que nous avons eue lorsque nous avons voyagé en voiture et que nous avons eu une collision avec un train. Mon mari et moi avons eu seulement de légères blessures qui ont guéri rapidement et les suites du choc ont disparu très vite à la lumière des paroles du poème de Mrs. Eddy: « Christ, mon refuge ». La strophe suivante a été tout particulièrement réconfortante (Écrits divers, p. 397):
La Vérité m’attache au roc:
Ni mer ni vent
Ne peut m’ébranler par ses chocs
Dorénavant.
Chacune de ces guérisons m’a enseigné l’importance de l’étude disciplinée pour spiritualiser ma conscience, pour être davantage consciente de l’unité et de la totalité de la création qui est spirituelle. Dans Science et Santé, Mrs. Eddy nous dit (p. 541): « La croyance erronée que la vie, la substance et l’intelligence peuvent être matérielles rompt dès le début la vie et la fraternité des hommes. » Quand cette croyance est chassée par une plus grande compréhension de l’Entendement divin, Dieu, l’harmonie dans notre vie est la conséquence naturelle.
Glen Osmond (Australie-Méridionale), Australie
